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Glossaire

  • 3GPP:
    3nd Generation Partnership Project. Groupe de travail chargé de standardiser les aspects fonctionneles des échanges entre opérateurs IP sous le protocole IMS.
  • ABAL:
    Advanced Business Application Langage. Environnement de développement comprenant un langage de programmation et des outils de développement sous PROLOGUE. Fondé sur la langage BAL, langage du premier micro-ordinateur du monde, inventé par le français Truong Trong Thi au sein de la société R2E.
  • ACL:
    Asynchronous Cluster Link : paquet asynchrone pour les données. Technique d'encodage asynchrone utilisée par la technologie BLUETOOTH (802.15)
  • ACTIVE:
    Advanced Control Technology for Integreted Vehicles. Ensemble de techniques informatiques permettant de piloter un chasseur intercepteur X44 (un F22 évolué) dépourvu d'empennage et des surfaces mobiles de type "Canard". Les programmes "Active" permettent donc de piloter cet avion expérimental à l'aide de tech-niques de poussées vectorielles directement mises en œuvre par les commandes classiques de l'appareil.
  • ADO:
    Active X Data Objects : Outil conçu par Microsoft permettant la translation des données héritées et non re-lationnelles entre applications hétérogènes.
  • ADSL:
    Asymetric Bit Rate DSL. Développement ultime de la technologie DSL qui autorise un débit maximal asy-métrique de 8 méga bits par seconde dans le sens réseau abonnés et de 640 kilos bits dans l'autre sens. Cette caractéristique destine à priori cette technologie pour le support des services audiovisuels interactifs. L'évolution actuelle du marché permet à ADSL de s'orienter aussi pour être au service du réseaux Internet et du standard ATM.
  • AFAQ:
    Association Française pour l'Assurance Qualité. Organisme chargé de certifier les entreprises aux normes ISO 900X
  • AFNIC:
    Association Française pour le Nommage Internet en Coopération : association ayant remplacé au 01/01/98 le NIC France et chargée de gérer les adresses Internet au sein du domaine ".fr".
  • AFNOR:
    Association Française de la Normalisation. Correspondante de l'organisme international ISO.
  • AFUT:
    Association Française des utilisateurs du téléphone. Cette association, théoriquement représentative des consommateurs face à France Telecom est en fait fortement contestée dans sa représentativité car son fonctionnement était entièrement financé par les Instances Gouvernementales et/ou France Telecom.
  • AFUU:
    Association Française des utilisateurs UNIX : Club des utilisateurs UNIX en France
  • AGL:
    Atelier de Génie Logiciel.
  • AIT:
    Advanced Intelligent Tape. Technologie d'encription de bandes magnétiques sur streamer fondée sur un enregistrement hélicoïdal des données sur bande. Conçue et brevetée par SONY. Dispose des niveau 1, 2, 3 et 4. Ce dernier stade permet un débit de 24 MO / s pour une capacité native de 200 GO par support ou 520 GO en mode compressé. Contrairement aux technologie DLT et LTO, AIT dispose de cartouches à deux axes et de facteurs de forme différents.
  • AIX:
    Advanced Interactive eXecutive : c'est le nom de baptême du système d'exploitation UNIX au sein d'IBM. Ce système a été rendu célèbre par l'utilisation sur le mini-ordinateur RS 6000 commercialisé avec grand succès dans les années 80 et 90 par IBM. L'ordinateur RS 6000 était fondé sur un processeur RISC.
  • AJAX:
    Asynchronous Javascript and XML. Outil de développement d'application transposant l'ergonomie des clients lourds traditionnels au sein des navigateurs. La fondation ECLIPSE s'est appropriée en 2006, sous l'impulsion d'IBM, la tentative de fédération autour d'un atelier de développement dans le logigiciel dit "libre", commun à tous les éditeurs concernés. et baptisé OPEN AJAX. Y adhéraient au debut de 2006 : BEA, BORLAND, IBM, NOVELL, GOOGLE, ORACLE, RED HAT, YAHOO, ZEND ... Cet outil de développement d'interfaces Web entre un client et un (ou des) serveur(s). Génère en général une tâche de fond sur le client qui s'exécute de façon asynchone sans bloquer l'utilisateur.
  • ALD:
    Atomic Layer chemical vapor Deposition : technique alternative au PVD permettant dans certains cas de meilleures performances dans les dépôts en couches minces sur les puces destinées à la fabrication des microprocesseurs en tranche.
  • ALGOL:
    ALGOrythmic Language : langage de programmation conçu en 1960 par Grace HOPPER. Il est considéré comme l'ancêtre de tous les langage structurés.
  • ALM:
    Application Lifecycle Management ou gestion du cycle de de vie des applications.
  • AMD:
    Advanced Micro Devices : concepteur et fabricant de microprocesseurs et de cartes mémoires.
  • ANAAFA:
    Association Nationale d'Assistance Administrative et Fiscale des Avocats : centre de gestion agréé de la profession d'Avocat. Traite environ dix mille dossiers par an. Outre un centre de compétence affirmé en matière de fiscalité des Avocats, l'ANAAFA propose un ensemble de logiciels de gestion aux cabinets d'Avocat.
  • ANSA:
    Adaptative Netword Security Alliance : Cette association devrait permettre d'offrir une interopérabilité des différents outils de sécurité et devrait conduire plus généralement à renforcer la sécurité globale de l'entreprise.
  • API:
    Application Programming Interface : interface de programmation et d'application. Ce dispositif logiciel permet les interactions ou les interfaces entre deux logiciels. En général, cette interface permet un programme applicatif d'accéder aux ressources du système. Ainsi, sous WINDOWS les développeurs peuvent accéder à partir de leur programme aux fonctions du système graphique grâce aux API.
  • APL:
    A Programing Language. Langage conçu par IBM et destiné dans les années 70 à réaliser des applications scientifiques et utilisable sur le réseau du Service Bureau.
  • APPC:
    Advanced Program to Program Communication : communication avancée de programme à programme. Cet ensemble de service faisant partie de l'architecture de communication SNA d'IBM. Permet à un programme système de communiquer avec un autre programme système.
  • APPN:
    Advanced Peer to Peer Network : annoncé vers 1984 par IBM, cette architecture a posé les fondements d'un réseau non hiérarchisé s'opposant ainsi à SNA. C'est un réseau où les constituants étaient à même d'être plus ou moins autonomes. La notion de "peer to peer" était ainsi annoncée bien avant les réseaux porte à porte du type Lantastic.
  • ARCEP:
    Autorité de Régulation des Communications Electronique et des Postes. Cet organisme succède depuis le 20 mai 2005 à l'ancienne ART en application de la loi 2005-516 du 20 mai 2005 relative à la régulation des activités postales.
  • ARMT:
    Autorité de Régulation des Mesures Techniques. Cette autorité, prévue par la loi DADVSI du 01/08/2006, a été mise en place par le décret du 04/04/2007 définitivement. Cette autorité se voit dévolue la lourde tâche de concilier les mesures techniques de protection des oeuvres (DRM) avec l'exercice des exceptions induites par le droit d'auteur et les exigences naturelles d'interopérabilité.
  • ARPA:
    Advanced Research Project Agency. Cette agence américaine, qui est un centre de recherches, a particulièrement été à l'origine du protocole Internet TCP/IP.
  • ARPANET:
    Advanced Research Project Agency Network. Ce réseau a été créé en 1969 par l'agence américaine ARPA. C'est lui qui est à l'origine de la naissance du réseau INTERNET. Il est resté l'une des principales structures du réseau jusque dans les années 1990.
  • ART:
    Autorité de Réglementation des Télécommunications : organisme français qui a succédé le 5 janvier 1997 à la DGPT, à l'occasion de l'entrée en vigueur de la loi sur la déréglementation des télécommunications qui fixe le cadre législatif de l'ouverture du marché français à la concurrence. Se veut au départ un arbitre impartial entre les opérateurs entre eux et entre les opérateurs et les usagers. L'ART a été créée par la loi du 26/07/1996 relative à l'ouverture des télécommunications à une concurrence totale à compter du 01/01/1998.
  • AS:
    Analysis Service : ensembles des logiciels et des outils associés constituant l'offre globale que Microsoft propose comme solution en tant que logiciel décisionnel.
  • ASCII:
    American Standard Code for Information Interchange : première norme de codification des données sur 7 bits, offrant donc 27, soit 128 possibilités de caractères. L'ASCII "étendu" s'intitule ainsi car il a ajouté un bit aux 7 bits initiaux, afin de développer une norme se rapprochant du caractère EBCDIC sur 8 bits. Ainsi, les caractères ASCII étendus offrent 28 soit 256 possibilités de codification d'un caractère dans un octet. Son concepteur, Bob BEMER, décédé en 2004 a aussi participé à la conception du Cobol, dezs systèmes temps partagés, à la séquence "escape". Il fut un des tout prmier à annoncer les dansger du passage à l'an 2000.
  • ASIC:
    Application Specific Integrated Circuit : circuits électroniques dont la fabrication comprend une opération de programmation des circuits spécifiquement conforme à la demande du client final. En quelque sorte, ces circuits sont programmés "en dur" à la demande. Avantage : ils sont pratiquement infalsifiables et donc bien protégés des "copieurs". En français on les baptise "circuits pré diffusés".
  • ASP:
    Activ Server Page. Il s'agit d'une couche logiciel de l'Internet Information Server ou IIS de Microsoft qui, intégré à Windows NT, est utilisé pour la gestion des pages dynamiques. Application Service Provider : fournisseur d'applications en ligne sur Internet. Le principe d'un ASP est la fourniture d'une application Informatique par un fournisseur à un client à travers le réseau Internet, le serveur devenant alors le serveur WEB du fournisseur d'accès
  • ATA:
    Advanced Technology Attachement : standard du bus de connexion de disques dur sur un micro-ordinateur. A succédé aux bus IDE et ISA. Se décline au format série ou parallèle.
  • ATT:
    American Telegraph and Téléphone. Ce fut la plus gigantesque holding américaine ayant pratiquement le monopole des télécommunications longue distance aux USA. A dû subir la loi antitrust américaine et s'est subdivisée en de très nombreuses compagnies régionales de téléphone baptisées "BABY BELL". Au sein d'ATT, il existait un laboratoire de recherche mondialement connu baptisé BELL LABORATORIES, inventeur en particulier d'UNIX. Cette unité a été rétrocédée à NOVELL puis à SCO. Les "Bell Labs" ont fait partie de la scission récente de ATT vers LUCENT Technology.
  • AZERTY:
    Sans signification particulière en dehors de comporter les 6 premières lettres du clavier aux normes françaises.
  • B2B:
    Business to Business (prononcé "Bitoubi") : acronyme aux consonances anglo-saxonnes désigné "techniques d'échange de données à caractère commercial générant du chiffre d'affaires entre deux entités : industrie ou société vont utiliser le réseau Internet comme outil exclusif de communication, de conclusion et de signature contractuelle et d'échange d'accords commerciaux.
  • BAJ:
    Bureau d'Aide Juridictionnelle
  • BAL:
    Business Application Language. : langage du premier micro-ordinateur du monde, inventé par le Français Truong Trong Thi au sein de la société R2E. Etait fondé sur le langage Basic. Certain affirment que cet acronyme signifiait "BAsic Micral".
  • BAM:
    Business Activity Monitoring : supervision de l'activité métier. Pilotage de l'activité de l'entreprise ou gestion des processus métier. Ce concept est censé combiner les données récoltées dans plusieurs sytèmes afin de concevoir des synthèses ou tableaux de bord constitués de paramètres indicateurs spécifiques des métiers de l'entreprise, synthèses destinées à être utilisées par les différennts responsables opérationnels de l'entreprise. Ce concept BAM a été généré par le cabinet Gartner Group en 2001.
  • BBS:
    Bulletin Bild Specify. Les BBS offrent des services de transfert de fichiers de messageries électroniques et de conférences. Chaque BBS est géré par un micro ordinateur relié au réseau téléphonique par un ou plusieurs modems. Il s'agit d'un service privé.
  • BCRCI:
    Brigade de Contrôle et de Répression de la Criminalité Informatique : service de la direction centrale de la police judiciaire chargée de la criminalité informatique
  • BEFTI:
    Bureau d'Enquête sur les Fraudes aux Technologies de l'Informatique : service de la police parisienne qui a succédé au SEFTI.
  • BIOS:
    Basic Input/Output System : ce programme indique au processeur les dispositifs à initialiser lors de la mise sous tension d'un micro-ordinateur MS DOS. Ce programme de base est stocké en mémoire morte.
  • BIT:
    BInary digiT : unité d'information élémentaire en informatique. Un octet équivaut à 8 bits.
  • BLOG:

    ou blogue : aphérèse de web log - Site Web constitué par la réunion d'un ensemble de billets triés par ordre chronologique. Chaque billet (appelé aussi note ou article) est, à l'image d'un journal de bord ou d'un journal intime, un ajout au blog ; le blogueur (tenant du blog) y porte un texte, souvent enrichi d'hyperliens et d'éléments multimédias et sur lequel chaque lecteur peut généralement apporter des commentaires.

  • BNF:
    Bibliothèque nationale de France : cet organisme créé au milieu des années 1990 s'est fait connaître par la rupture célèbre d'un contrat avec CAP GEMINI portant sur un système de gestion des ouvrages et des prés multimédia. La rupture de ce contrat dont l'enveloppe initiale était voisine du milliard de francs à un retentissement médiatique important.
  • BOY2K:
    Back Orifice 2000 : virus au nom évocateur, si ce n'est grossier masquant un redoutable destructeur de disque et de système. Ce virus macro transmis sous forme de cheval de Troyes à l'aide de messages Internet anodins demandant au récepteur de bien vouloir contribuer au développement des techniques Internet de la part d'AOL et de Microsoft en retransmettant ce message après l'avoir ouvert à un maximum de personnes. Cette technique auto transmissive permet d'inoculer le virus à un maximum de sites. Une seule parade : ne pas ouvrir le fichier attaché et détruire immédiatement tout message Internet dont l'origine n'est pas certaine.
  • BPEL:

    Business Process Execution Language : langage d'exécution des processus métier. BPEL consiste en un langage XML dessiné pour définir et gérer les orchestrations de processus. Dans ce contexte, une orchestration est une collaboration entre deux ou plusieurs services, mise en place et/ou gérée (orchestré) par un tiers - en l'occurrence, BPEL. Ce dernier prend en charge la séquence complète d'invocations des divers services, ou "collaborateurs".
    Alors que chaque service, pris indépendamment, ne constitue qu'une interface propre à un composant, une couche supplémentaire de standards était nécessaire pour assurer gérer les liens entre plusieurs de ces services, au sein d'une couche applicative.

    BPEL, tout d'abord nommé BPEL4WS (BPEL for a Web Services) ou WS-BPEL, a donc été conçu pour intégrer un grand nombre d'applications, publiées sous forme de service dans un but métier particulier, sans dépendance de plate-forme ou de langage, le tout de manière automatique.

    La version 2.00, soutenue par BEA, IBM, MICROSOFT, SAP, etc.,  a été ratifiée par l'OASIS en 2007.

  • BPM:
    Business Process Management : Pilotage des processus métier.
  • BPMI:
    Business Process Management Initiative : groupe de travail chargé de la normalisation des techniques BPMN
  • BPMN:
    Business Process Modeling Notation : modélisation des processus métier. Système de notation réalisée par le groupe BPMI. Cette technologie à pour objectif la réconciliation des analystes métiers avec les développeurs et les administrateurs systèmes. BPMN représente la première version d'un début de normalisation de la modélisation des processus métiers. Concurrente de la technologie UML.
  • BPR:
    Business Process Reengineering : technique globale d'approche des projets informatiques orientée vers la satisfaction des besoins du clients.
  • BSC:
    Binary Synchroneous Communication : protocole de communication synchrone interne à IBM, ayant précédé le protocole SDLC. De nombreux standards respectent encore cette norme, en particulier, les standards de communication machine à machine, de type IBM permettant le transport de fichiers dans les banques.
  • BSD:
    Berkeley Standard Distribution. Qualificatif associé à UNIX pour définir la version développée par l'université de Berkeley de ce système d'exploitation.
  • BUG:
    Papillon - Insecte (bogue en français ) : Grace Hopper (qui concevra plus tard le Cobol) travaillait sur le Mark 1 en 1944. Par un après midi caniculaire, l'ordinateur subit une panne. Elle découvrit la cause : un simple papillon de nuit ou insecte (Bug en anglais). Ce fut le premier "bug" de l'histoire courte de l'informatique.
  • BUNCH:
    Burroughs, Univac, NCR, Control Data, Honeywell : cet acronyme désignait dans les années 70 les 5 constructeurs d'informatique poursuivant d'IBM dans la course à la taille critique. Aucune ne subsiste ! Burroughs et Univac ont uni leur sort au sein de UNISYS. NCR a été racheté par ATT. Control Data a disparu. Honeywell a été racheté par BULL après la longue histoire du plan calcul ...
  • C-SET:
    Chip Secure Electronic Transaction. Protocole de transaction sécurisé sous INTERNET autorisant les clients à payer leurs achats, et à s'authentifier sur INTERNET avec une carte bancaire à puce.
  • C2i:

    Certificat Informatique et Internet. Le C2i niveau 1 est censé apporté aux étudiants la maîtrise des compétences indispensables à la poursuite d'un cursus universitaire supérieur et des études poursuivies pour s'insérer dans la vie professionnelle.

    Le C2i niveau 2, destiné aux stagiaires des IUFM, les aide à évoluer et à se former pendant tout le cycle de leur carrière.

  • CA:
    Computer Associates : un des plus grand éditeurs de logiciel. D'origine américaine et fondée par Charly WANG, cette SSII se distingue par son éclectisme et donc par la diversité de son catalogue due à sa boulimie de rachat de sociétés aussi diverses que TALOR (TEXTOR), INGRES (SGBDR), CHEYENNE (antivirus INOCULAN). Très implantée dans le milieu des gros ordinateurs, CA est venu tardivement à la micro et avec une stratégie hésitante.
  • CAD / CAM:
    Computer Aided Design / Computer Aided Manufacturing : acronyme anglo-saxon traduit en français par CFAO.
  • CAO:
    Conception Assistée par Ordinateur : technique utilisée en informatique permettant la simulation graphique de certains objets à fabriquer : avions, voitures, circuits électroniques, pièces de fonderie, moules, ski, stations spatiales, etc. ...
  • CAP SESA:
    Filiale française de Cap GEMINI : Est devenu depuis septembre 1996 CAP GEMINI France.
  • CARAG:
    Caisse Autonome des Règlements des Avocats de Grenoble.
  • CARPA:
    Caisse Autonome des Règlements Pécuniaires des Avocats.
  • CASE:
    Computer Aided Software Engineering : ce terme est utilisé improprement en anglais pour traduire le sigle AGL. Correspond en fait au concept anglo-saxon de l'ingénierie de développement à l'aide d'outils informatiques.
  • CC-NUMA:
    Cache Coherent - Non Uniform Memory Access. Concept qui permet de construire des machines intermédiaires entre les architectures SMP et MPP. Dans ce type de structure, un n?ud voit son processeur remplacé par des macro composants contenant eux-mêmes plusieurs processeurs mais surtout une mémoire et des entrées-sorties communes mais pas de système d'exploitation. Ainsi donc la mémoire globale d'un n?ud CC-NUMA est à la fois partagée et distribuée.
  • CC/PP:
    Composite Capabilities Preferences Profil : Normes destinées à recenser les données sur l'utilisateur et sa configuration matérielle. Utilisable dans le futur sur Internet pour recueillir les données des utilisateurs et personnaliser ainsi les pages Web qui vont s'afficher chez ces derniers.
  • CCETT:
    Centre Commun d'Etude du Téléphone et de la Télévision : centre de recherche de français dont le rôle est bien connu de tous les fabricants de matériels de télécommunication puisque c'est lui qui procède à l'agrément de tous les dispositifs, en particulier des modems. Son rôle est redéfini face à la réglementation très ouverte induite par le marché unique européen.
  • CCITT:
    Comité Consultatif International Télégraphique et Téléphonique : à l'origine ce comité international fixait les normes internationales de communication du type X-25 et X-400. Est remplacé désormais par l'ITU.
  • CD - E:
    Compact Disk Erasable : norme de disque optique compact développé par PHILIPS et permettant l'effacement et la réutilisation des médias. La capacité de chaque support était de 650 MO. Cette technique s'est opposée au PD / CD développé par SONY.
  • CD - I:
    Compact Disk Interactive : norme de disque. optique compact intégrant plusieurs médias (son, image, données, etc. ...) et une certaine interactivité. Cette norme a été développée par PHILIPS et par Sony. Utilisée en formation et pour les disques de jeux vidéo.
  • CD - ROM:
    Compact Disk Read Only Memory : standard audio et informatique de disque optique numérique destiné au stockage des bases de données. Disque non réinscriptible. En 1996, l'académie française a "francisé" ce terme sous le vocable "Cédérom".
  • CD - ROM XA:
    Compact Disk Read Only Memory eXtended Architecture : extension du CD ROM classique intégrant un processus de décompression temps réel du signal sonore compressé.
  • CDE:
    Common Desktop Environment : environnement graphique unique (donc commun) pour le monde UNIX. Ce fut la première concrétisation du projet COSE.
  • CDP:
    Continous Data Protection : Sauvegarde des données en continu. Technique datant du début des années 2000 visant à assurer une protection et surtout une sauvegarde des données à chaud et en temps réel au fur et à mesure de la modification des données en exploitation.
  • CE:
    Compatibilité Electromagnétique. Norme européenne applicable depuis la loi du 1er janvier 1996 qui, fondée sur les arrêtés du 27/03/93 et la circulaire du 11/04/94, fait obligation de déclarer la mise en exploitation dans les locaux non domestiques d'appareils de traitement de l'information communément désignée sous le sigle "ATI". Cette fameuse norme impose finalement que tout appareil qui utilise un câblage doit être en conformité avec les règles de la compatibilité électromagnétique.
  • CECILL:
    Adaptation française de la licence GPL
  • CEE:
    Converged Enhanced Ethernet - Aussi baptisé Datacenter Ethernet. Nouvelle définition du protocole Ethernet adapté à la bande 10 GO/s.
  • CEM:
    Compatibilité Electromagnétique : règles européennes qui conduisent tout constructeur d'appareils électriques et tout particulièrement les constructeurs de micro-ordinateurs a obéir aux normes CE.
  • CEP:

    Complex Event Processing ou gestion d'évènements complexes.Application nécessitant la collecte et l'analyse de messages ou de messageries hétérogènes trans applications diverses. En 2007 les acteurs sont IBM, TBCO, Oracle, BEA.

    Ce genre d'application permet, par exemple, de détecter des seuils limites dans des applications financières de gestion des flux monétaires, de réguler et surtout d'ajuster le décolage des avions en fonction du planning temps réel des bagages et/ou des passagers, enfin de détecter encore mieux certaines tentatives frauduleuses de payement.

  • CFAO:
    Conception et Fabrication Assistée par Ordinateur : technique utilisée en informatique permettant la mise en fabrication immédiate des procédés et/ou des objets conçus en CAO.
  • CFV:
    Call For Vote : appel au vote. La création d'un nouveau groupe de discussion exige qu'il soit voté (approuvé) par la communauté INTERNET. Il doit ainsi passer au vote que cette communauté doit dérouler avec un excédent de 100 "oui" par rapport aux "non", pour qu'un nouveau forum puisse être approuvé par cette communauté.
  • CGI:
    Compagnie Générale Informatique. SSII connue pour sa contribution au développement des L4G (PACBASE) et des méthodes (MERISE). Common Graphic Interface : standard qui permet à un serveur Web du réseau Internet de faire fonctionner des applications externes telles qu'une requête SQL et de les rapatrier sur ce serveur Web pour les présenter conformément à la requête initiale.
  • CGS:
    Cap GEMINI SOGETI : n° 1 européen des SSII et n° 5 ou 6 mondial. Son génial créateur, le Grenoblois Serge KAMPF, était Directeur de l'agence grenobloise chez Bull. Opposé au regroupement vers Lyon de la direction régionale de BULL, il a démissionné pour fonder CAP. Le reste est une success story exceptionnelle qui l'a conduit à rester le patron d'un groupe de 35 000 personnes. En 92 et 93 pourtant, CAP SESA a dû enregistrer ses premières pertes. Adossé à un industriel, en l'occurrence DAIMLER BENZ à travers sa filiale service DEBIS, CGS est devenu CAP GEMENI et Serge AMPF a perdu la gérance, le contrôle financier au profit du groupe allemand DEBIS, qui a finalement cédé sa participation à un holding financier français, la CGIP.
  • CICS:
    Customer Information Control System. : moniteur temps réel utilisé comme gestionnaire de pages d'écrans sous DOS et sous OS, utilisé très souvent par IBM et constituant un standard de fait en matière de moniteur temps réel.
  • CIEE:
    Conseil en Informatique pour l'Equipement des Entreprises. SSII française dont le siège social était à BOURGES. A disparu en 1996 après avoir été un sous-traitant de l'UNCA.
  • CIGREF:
    Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises. Ce groupement, relativement discret par le passé, a émis de vives protestations à la veille de l'an 2000 vis à vis du comportement des SSII.
  • CIM:
    Computer Integrated Manufacturing : procédé de fabrication industrielle mettant en jeu 6 niveaux d'intégration. Common Information Model : désigne un modèle orienté objet de description de données d'administration. Cette référence a été mise au point pour décrire les ressources du système d'information susceptibles d'être administrées.
  • CISC:
    Complex Instruction Set Computer : architecture classique des ordinateurs avec existence de très nombreuses instructions.
  • CIVI:
    Commission d'Indemnisation des VIctimes.
  • CLUSIF:
    Club de la Sécurité Informatique Français : association de grands utilisateurs d'informatique dont les objectifs sont, entre autres, de réfléchir à la sécurité et à la cryptographie des systèmes informatiques et des télétransmissions.
  • CMDB:
    Configuration Management Data Base ou Base Centrale de Gestion de Configuration.
  • CMM:
    Capability Maturity Model : méthodologie des modèles de maturité de processus. Le modèle de maturité de processus est mis en œuvre dans certaines sociétés de services pour palier au mal endémique constitué par la difficulté des équipes de développement à tenir leurs prévisions de coûts de délais et de qualité. Le CMM s'attache à décrire une organisation de travail qui soit reproductible et qui ne s'appuie pas uniquement sur la qualité des individus. Il existe 5 niveaux : niveau 1 ou "hero", niveau 2 reproductibilité, niveau 3 définition, niveau 4 gestion quantitative, niveau 5 optimisation.
  • CMS:
    Content Management System : système simplifié de gestion du contenu d'un site Web. Ce système ne suppose pas l'écriture de codes ou d'outils de développement.
  • CNBF:
    Caisse Nationale des Barreaux Français : Caisse de retraite des Avocats, alimentée par les "droits de plaidoiries" versés sous la forme de "timbres CNBF" et depuis février 1994, de "droits de plaidoirie" par les Avocats à la CNBF.
  • CNCC:
    Compagnie Nationale des Commissaires aux Comptes : Organisme ordinal central des commissaires aux comptes. Est un interlocuteur de la Chancellerie et de l'UNCA vis à vis de la certification des Etats liquidatifs de l'Aide Juridictionnelle par les commissaires aux comptes.
  • CNET:
    Centre National d'Etude des Télécommunication : ce laboratoire de recherche appliquée de France Télécom est à l'origine de nombreuses avancées technologiques en informatique et en télécommunication. On y a, en particulier, inventé TRANSPAC, développé les bases de l'ATM et mis au point de processus de fabrication pour un certain nombre de "puces" destinées aux télécommunications.
  • CNIL:
    Commission National Informatique et Liberté : organisme public français chargé de faire appliquer la loi dite "Informatique et libertés" du 21 décembre 1977. Cette loi protège le citoyen à l'égard des abus possibles vis à vis de la vie privée de l'individu lors de l'utilisation des fichiers informatiques. Cette commission a, par exemple, empêché l'interconnexion des fichiers de différentes administrations françaises et l'utilisation du numéro d'identification national unique (numéro de sécurité sociale).
  • CNRS:
    Centre National de la Recherche Scientifique : cet organe gouvernemental gère les principaux budgets de recherche universitaires grâce au système du "laboratoire associé", qui viennent se greffer sur les laboratoires directement gérés par cet organisme. En 1997, le budget d'INTEL est équivalent au budget du CNRS.
  • COBOL:
    COmmon Business Oriented Language : langage de programmation orienté gestion conçu en 1959 par le (la) Capitaine Grace Hopper, officier dans la marine américaine.
  • CODASYL:
    Conference On Data System Language : Comité qui mis au point un certain nombre de normes, en particulier sur le langage Cobol et sur les Base de Données.
  • COLD:
    Computer Output to Laser Disk : stockage des données sur disques laser enregistrés depuis l'ordinateur. Cette technique concurrence la technique COM fondée sur les microfilms.
  • COM:
    Computer Output to microfilm : stockage des données sur microfilms enregistrés depuis l'ordinateur. Cette technique consiste à enregistrer une copie d'archives ou de documents directement sur microfilms à partir d'un ordinateur..
  • COM/DCOM:
    Component Object Model - Distributed Component Object Model : Modèle d'architecture spécifique proposé par Microsoft permettant la réalisation d'objets distribuables sur un réseau quels que soit les langages de programmation utilisés. COM est un mécanisme de communication permettant l'échange de données de nature variée en des applicatifs sur un seul poste. DCOM est sa version distribuée sur le réseau.
  • CORBA:
    Common Object Request Broker Architecture : ce standard conçu par l'OMG permet de définir les interfaces graphiques communes entre les différents acteurs intervenant en programmation objet. CORBA s'oppose à COM / DCOM (Microsoft) et à SOM / DSOM (IBM). Common Object Request Broker Association : Groupe de l'OMG chargé de définir les spécifications standards des ORB.
  • COSE:
    Common Open Software Environment : projet du groupe OSF visant à la réalisation de normes d'environnements et de développements communes à l'ensemble des versions UNIX de l'ensemble des constructeurs et des concepteurs de logiciels travaillant dans le monde UNIX (ouvert).
  • CPL:

    Courrant Porteur en Ligne. Cette technologie de réseau, alternative au câblage spécialisé pour les courants faibles (en général Ethernet) consiste utiliser le réseau électrique comme support du transport des données informatiques ou du courant faible en général.

    Pour cela, on sépare les signaux à basse fréquence (courant alternatif) et les ondes à haute fréquence sur lesquelles transitent les données numériques. Grâce à cette superposition, le fonctionnement des équipements électriques n'est pas perturbé. Les courants porteurs en ligne sont surtout utilisés pour partager une connexion haut débit dans un réseau local (entreprise, établissements scolaires...).

    Leur développement en réseau WAN et non plus seulement en LAN, devrait permettre, avec d'autres technologies dites alternatives, de désenclaver certaines zones ne disposant pas d'accès à l'Internet haut débit.

    Ils permettent d'atteindre des débits de 4 à 45 Mbits partagés entre les différents utilisateurs. Ils s'adressent généralement à des professionnels mais des offres "grand public" commencent à être proposées. Ces offres comprennent en général une borne qui doit être reliée d'une part à la prise électrique et d'autre part à la carte réseau de l'ordinateur (carte Ethernet).
  • CPM:
    Computer Program for Micro-computer : 1er système d'exploitation pour micro-ordinateurs fonctionnant sur le microprocesseur ZILOG Z80 développé par Gary Kildall chez Digital Research. Abandonné depuis. Son successeur, le DR DOS était un des systèmes permettant l'exploitation simultanée de plusieurs postes de travail connectées à un même micro-ordinateur.
  • CPS:
    Carte Professionnelle Santé : carte à puce électronique dévolue au praticien devant s'insérer dans le réseau national santé de la Sécurité Sociale.
  • CPU:
    Central Power Unit : unité centrale d'un ordinateur.
  • CRM:
    Custumer Management Requirement :. Gestion de la relation client et de ses besoins. Il s'agit de logiciels assurant l'interface Homme machine entre l'opérateur d'un centre d'appel téléphonique et la base de données contenant les informations du client. Ces logiciels, très utilisés dans les centres d'appel permettent, en mettant à disposition la totalité des informations client en ligne, y compris ses précédents appels, d'apprécier la situation de ses droits et de son compte financier, d'assister l'opérateur à répondre dans un premier temps au client, tout en assurant un filtre, un tri et une ventilation vers différents services techniques, commerciaux ou financiers.
  • CSC:
    Computer Science Corporation. Cette société de services américaine a réalisé en 1997 un chiffre d'affaires d'environ 32 milliards de francs. Sa croissance en France va représenter 66 % et elle fait désormais partie des américains qui comptent dans l'hexagone.
  • CSG:
    Contribution Sociale Généralisée : cette modification de l'environnement en matière de loi sociale a contribué à la complexité de programmes destinés à la paye et la gestion du personnel. S'applique désormais sur 95 % des revenus salariaux de façon uniforme.
  • CSMA / CA:
    Carrier Sense Multiple Access with Collision Avoidance. Normes de transmission utilisée en particulier par le réseau AppleTalk..
  • CSMA / CD:
    Carrier Sense Multiple Access with Collision Detection. Normes de transmission connues par le sigle 802.3 permettant l'interconnexion sur paires téléphoniques torsadées d'ordinateurs hétérogènes.
  • CTI:
    Couplage Téléphonie Informatique : il s'agit d'une application dite "Front Office" couplant, comme son nom l'indique, la téléphonie et l'informatique et permettant au centre d'appel centralisé ou déporté de disposer en ligne de base de données clients permettant aussi bien la gestion des appels que la gestion des configurations. Ces outils permettent aussi la fidélisation des consommateurs grâce à leur capacité d'enregistrer un historique des appels. Cette technologie vise à utiliser la technologie informatique mixée avec les automatisations d'appels téléphoniques par l'intermédiaire de PABX aux fins d'optimiser les interfaces entre les entreprises et leurs clients, soit pour gérer les centres de dépannage téléphonique soit pour améliorer la productivité des téléactrices dans un centre de télémarketing.
  • CTOS:
    Convergent Technology Operating System : système d'exploitation de type réseau fédératif conçu par la société Convergent Technology et revendu en OEM par BURROUGHS puis UNISYS, DEC, PRIME et surtout BULL qui en avait fait la base de sa gamme QUESTAR 400.
  • CUBE:
    Club des Utilisateurs Bull : il s'agit d'un club français fort connu et très ancien, très représentatif des utilisateurs de matériel Bull et autres matériels issus des anciennes gammes préalablement aux différentes fusions (C2I, Honeywell Bull, Bull General Electric, Philips, Unidata, etc…)
  • CXP:
    Centre d'eXpérimentation des Packages : cet organisme privé est une référence en matière d'inventaires des produits logiciels. Est interrogé par les futurs clients pour connaître les évaluations d'une série de produits dans un domaine donné. Un de ses cofondateurs, Jean-Eric Forge a créé le mot "progiciel".
  • DADVSI:
    Droits d'Auteur et Droits Voisins dans la Société d'Information. La loi du 1° août 2006 intitulée DADVSI exige que tout internaute utilisant ou pas un logiciel de partage de fichier, doit s'attacher à ce que son accés internet ne soit pas utilisé à des fins de reproduction illicite ou pour des représentations illicites d'oeuvres de l'esprit.
  • DAM:
    Digital Access Management : Solution pour la gestion des contenus ayant pour objectif de faciliter l'identification des médias numériques issus des différents départements de l'entreprise. Intégrés dans le système d'information, ces différents objets numériques seront mieux stockés et indexés. Cette solution permet ainsi de les rechercher, de les trouver et de les exploiter facilement. Les objets ainsi gérés sont constitués de différents types : vidéo, audios, fichiers Powerpoint, images etc.
  • DAO:
    Dessin Assisté par Ordinateur : technique utilisée en informatique, ayant précédé la CAO, et permettant le dessin sur écran graphique et la restitution sur tables traçantes ou sur traceurs.
  • DAT:
    Digital Audio Tape. Technologie digitale d'enregistrement des données sur bandes magnétiques. L'enregistrement digitalisé des données a permis d'augmenter la fiabilité des sauvegardes sur streamer et a permis d'utiliser les DAT sur des serveurs de données.
  • DB2:
    Data Base 2 : base de donnée IBM relationnelle implémentée sur la gamme des ordinateurs gérés par le système MVS.
  • DCE:
    Distributed Computing Environment : environnement informatique distribué. C'est un ensemble de services normalisés par l'OSF qui est destiné à faciliter la mise en œuvre de systèmes distribués hétérogènes dans les entreprises car au départ non prévus dans un environnement Unix.
  • DD:
    Disque Dur. S'oppose en général à la disquette ou à la bande magnétique ou streamer. Cette unité désigne le lecteur de disque dur qui est le dispositif où est stocké l'ensemble des bases de données et des programmes sur un micro-ordinateur ou sur un ordinateur standard.
  • DDR:
    Double Data Rate : architecture de de conception architecturale des barettes de mémoire vive qui en augmente les performances de manière significative. En 2004 cette technique a pris le pas sur la RAMBUS, pratiquement abandonnée, avec l'adoption du concept DDR II qui va autoriser des performances atteignant 667 et même 800 MHZ.
  • DDS:
    Digital Data Storage : dénomination du standard des bandes magnétiques digitales, dont la dénomination usuelle est "DAT".
  • DEC:
    Digital Equipment Corporation. : ex n° 2 mondial des constructeurs d'ordinateurs. Inventeur des ordinateurs à base de mots utilisant des adresses sur 32 bits comme le VAX. En perte de vitesse depuis 1993, avec des pertes financières abyssales, a entamé son redressement en 1996, mais a été racheté en 1998 par COMPAQ. Depuis le rachat de COMPAQ par HP, n'est plus fabriqué, mais conserve au début des années 2000 de nombreuses installations opérationnelles.
  • DECT:
    Digital European Cordless Telecommunications ou Normes européennes de télécommunications digitales sans fil. Il s'agit d'une technologie alternative envisagée par certains opérateurs sur le marché du téléphone pour accéder à l'aide d'une technologie sans fil aux abonnés locaux et surtout pour palier aux investissements colossaux représentés par la nécessité de créer pour chaque abonné la fameuse "boucle locale".
  • DECUS:
    Digital Equipment Corporation Users Club ou encore "Club des utilisateurs de Digital Equipement". Le passé de DEC et sa tradition de mini-industriel performant et facile à installer a fait de DECUS un des premiers clubs utilisateurs et un des plus créatif. Depuis le rachat par COMPAQ, les clubs DECUS se posent beaucoup de questions.
  • DEN:
    Directories Enabler Network : groupe de travail du DMTF qui se veut la suite logique des travaux réalisés autour du Protocole d'accès au service d'annuaire de type LDAP. Ce groupe de travail est supposé permettre l'interopérabilité et la normalisation des différents annuaires.
  • DES:
    Data Encryption Standard : Standard de cryptage des données. Cette norme de cryptage des données est limitée à 40 bits. Cette norme fait l'objet de critiques pour son absence de sécurité par opposition aux normes sur 120 bits difficilement introduites en France du fait des dispositions légales modifiées depuis février 2000 et qui autorisent désormais en France le chiffrement sur 56 bits.
  • DGI:
    Direction Générale des Impôts : direction du ministère du budget qui régit les règles applicables en matière fiscale. La DGI comporte en particulier le SLF.
  • DGPT:
    Direction Générale des Postes et des Télécommunications : organe français de décision fondamental en matière de télécommunication A disparu en 1997 au profit de l'ART, à l'occasion de l'ouverture à la concurrence du marché français des télécommunications.
  • DHCP:
    Dynamic Host Configuration Protocol : Protocole d'attribution dynamique d'adresses Internet pour IP. L'objectif est de remplacer les procédures de paramétrage manuel et d'attribution de configuration IP Statique aux postes du réseau. Un certain nombre de liens tentent aujourd'hui d'être établis entre les services DHCP et les services d'annuaires.
  • DL/1:
    Data Language 1 : ancêtre des bases de données IBM hiérarchiques implémentées sur la gamme des ordinateurs gérés par les systèmes DOS et OS.
  • DLL:
    Dynamic Link Librairies : programme permettant sous WINDOWS d'établir des liens dynamiques entre programmes et permettant, en particulier, d'écrire les interfaces avec WINDOWS.
  • DLT:
    Digital Linear Tape : Technologie d'enregistrement sur bande magnétique et streamer concurrente du système "8 mm" de type DDS. Capable de taux de transfert atteignant 5 millions d'octets par seconde pour une capacité de 35 gigaoctets . Ces unités sont conçues et fabriquées par la Société QUANTUM.
  • DME:
    Distributed Management Environment : Modèle standard de l'OSF. Permet de gérer des systèmes, des environnements et des applications.
  • DMI:
    Desktop Management Interface. Standard d'administration équivalent à SNMP pour les micro-ordinateurs. Il est promu par le DMTF. Les versions éditées à partir de 1997 fonctionnent sur réseau local ou étendu et elles gèrent des alertes matériels permettant l'accès à distance pour consulter les fichiers d'informations au format MIF.
  • DMP:
    DMP : Dossier Médical Personnalisé. Ce rêve informatique, devant permettre à tout affilié à la SS d'être muni sur sa carte VITALE 2 de son dossier médical unique. Lancé par la loi du 13/08/2004,  il a représenté un des plus grand fiasco de l'informatique dans l'administration française, reconnu en 2007 par les organes de contrôle comme l'IGASS, l'IGF et la CGTI.
  • DMS:
    Domain Main Server : protocole assurant la conversion entre les noms IP sous INTERNET, et les adresses sous forme de numéros IP (par exemple 192.12.144.2) des machines reliées à l'INTERNET.
  • DMTF:
    Data Management Task Force. Groupement d'éditeurs et de constructeurs dont l'objectif est de créer des outils standards d'administration de réseaux. Le DMTF a en particulier cherché à promouvoir le standard DMI dans la micro-informatique afin de simplifier l'application du standard ISO SNMP.
  • DOM:
    Document Object Model. Interface destinée à l'accès et à la mise à jour temps réel pour la programmation des feuilles de style et du contenu des documents en technologie XML. Dispose de trois niveaux : 1 - interfaces de bas niveau et additionnelles pour les vues HTML ; 2 - HTML version 4.01, XML 1.0 et noms XML ; 3 - extensions pour XML 1.1 et services sur le WEB.
  • DOS:
    Disk Operating System : système d'exploitation conçu dans un garage, par Bill Gates et Paul Allen en 1978 et qui allait devenir la star des systèmes pour micro-ordinateur, détrônant successivement CPM puis les systèmes APPLE. Disk Operating System : système d'exploitation révolutionnaire conçu par IBM dans les années 60 pour la gamme IBM 360 puis 370 et qui permettait l'exploitation, pour la première fois, de données stockées sur disques magnétiques. Remplacé petit à petit par MVS.
  • DOT.COM:
    Point.com : point se dit "dot" en anglais. Cet acronyme désigne en fait une société soutenue par du capital risque ou une Start-up caractérisant son site Internet à vocation commerciale qui, par dérive, est devenu une sorte de classification indiquant que l'entreprise souhaite jouer un rôle important dans la Net Economy.
  • DR DOS:
    Digital Research Disk Operating System : alternative à UNIX développée par le concepteur de CPM et permettant la multiprogrammation sur micro-ordinateurs avec comme base de microprocesseurs, la gamme INTEL. Abandonné depuis 1994 par NOVELL
  • DRAM:
    Dynamic Random Access Memory : ce type de mémoire non secourue est utilisée pour constituer l'espace "mémoire" d'un PC. Cet espace est intitulé aussi mémoire centrale ou mémoire vive.
  • DRDRAM:
    Direct Ram Bus Dynamic Random Access Memory : nouvelle génération de mémoire vive mise au point par la société Ram Bus Incorporation et que la société Micron Technology produit en volume depuis 1999. La DRDRAM autorise en bande passante de 1,6 giga octets par seconde. Cette technique est concurrente de la technique SLDRAM.
  • DRM:
    Digital Rights Management ou gestion des droits numériques. Principe de gestion des droits numériques attachés au document en extention des mesures de protection assurés en central par un référentiel de gestion de contenu. L'architecture de cette technique repose sur une serveur de licence détaillant, document par document, les droits des utilisateurs et une couche de contrôle chargée d'appliquer ces droits au poste client.
  • DSI:
    Directeur des Services Informatiques ou Direction des Systèmes d'Informations.
  • DSL:
    Digital Subscriber Line. Mode de transmission développé dans les milieux des années 1990 et permettant de réutiliser les bons vieux fils de cuivre en propulsant leur potentiel de bandes passantes vers des très hauts débits. La technique HDSL permet un débit de 2 méga bits sur une simple paire téléphonique non blindée. La technique ADSL autorise de façon asymétrique, 8 méga bits par seconde.
  • DSLAM:
    Digital Subscriber Line Access Multiplexer : Mode de transmission utilisé sur les câbles téléphoniques disposant d'un accès ADSL pour la réception de la télévision par câble. Mis en ?uvre par TPS pour la première fois en France à l'automne 2003.
  • DSML:
    Directory service Markup language : initiative d'une petite société BOWSTREET qui propose de créer un nouveau langage s'appuyant sur XML et normalisant les échanges de données entre annuaire au standard obéissant au Protocole LDAP qui offre l'inconvénient de ne pas normaliser l'accès au annuaire par leurs structures.
  • DSSS:
    Direct Sequence Spread Spectrum : technique de codification de la couche physique (1)dans le réseau à 7 couches de l'OSI
  • DTDS:
    Disaster Tolerant Data Systems : 3° niveau de sécurité du Standard RAID nouvelle formule. Le système de stockage résiste aux accidents tels qu'une coupure de l'alimentation électrique ou un débranchement intempestif d'un câble. Les données sont protégées en cas de panne de l'unité considérée.
  • DVD:
    Digital Versatil Disk : norme de convergence théoriquement unifiée du CD-ROM et des disques optiques réinscriptibles. Muni d'une grande capacité (17 GO en 1996), sa technologie est double face et double couche. A fait l'objet d'un accord historique mi-96 entre PHILIPS, Sony et Matsushita.
  • DWDM:
    Dense Wavelenght Division Multiplexing. Technologie ultime en 1998 permettant des transmissions jusqu'à 1000 Gigabits par seconde ou 1 Terrabit par seconde sur les grands réseaux internationaux. Cette technologie de Multiplexage en longueur d'ondes permet d'émettre sur la même fibre optique plusieurs trains de données à des longueurs d'ondes différentes. Cette technologie permet aussi un échantillonnage plus fin (granularité) des trains d'ondes.
  • E-MAIL:
    Electronic Mail : abréviation désignant une boîte aux lettres individuelle sur le réseau Internet. Ce terme a été francisé en 1997 sous le vocable "Mél.", ce qui est en fait une abréviation désignant la messagerie électronique.
  • E-VAP:
    Electronic value added providers ou fournisseur d'accès à Internet à valeur ajoutée. Cet acronyme désigne les sociétés américaines qui ne se contentent pas d'être un simple point d'accès mais apportent à leurs clients tout un ensemble de prestations globales accompagnant leurs clients, ayant pour origine un métier de base, et portant sur des sujets aussi divers et variés que la communication, la publicité, les réseaux ou plus classiquement les services informatiques.
  • EAI:
    Enterprise Application Integrated : système informatique d'intégration des application en entreprise. Processus et applications informatiques ayant pour objectif l'intégration la plus complète possible des différentes applications informatique de l'entreprise. Ces logiciels, véritables boîtes à outil, peuvent être contenus dans les ERP (PGI) ou chez des éditeurs spécialisés.
  • EBCDIC:
    Extended Binary Coded Decimal Interchange Code : mode de codification des données dans un octet sur 8 bits. Cette norme essentiellement défendue au départ par IBM a été plus ou moins supplantée par l'ASCII étendu. Elle offre comme cette dernière 28 soit 256 possibilités de codification d'un caractère dans un octet.
  • ECM:
    Enterprise Content Management : Gestion du contenu d'Entreprise. Logiciels destinés à assurer la mise à jour automatique au fil de l'eau des contenus de site WEB d'entreprise. Par contenu, il faut entendre tous les objets possibles, depuis de simples document en traitement de texte (WORD), des images, du son, de la vidéo jusqu'à des véritables scripts ou des accès à des programmes en code source.
  • EDGE:
    Advanced Data rest for Global evolution : cette technologie est concurrente du GPRS et de HSCSD pour l'amélioration des débits et entre les téléphones mobiles sur la technique GSM.
  • EDI:
    Echange de Données Informatisées : Technique permettant théoriquement la dématérialisation totale des échanges administratifs, commerciaux et comptables entre deux entités. L'EDI suppose, pour sa mise en ?uvre, la mise en place de normes applicables sur l'ensemble des sites informatiques concernés et en particulier aux deux extrémités constituées par l'émetteur et le récepteur des données informatisées transmises. Une des premières normes EDI mise en ?uvre en France est la norme EDIFACT utilisée de façon intensive dans le monde du transport, du pétrole et de l'automobile. L'EDI implique en particulier la sécurisation des transferts de données et l'authentification de la signature électronique de l'émetteur.
  • EDO:
    Extended Data Out : type de mémoire plus rapide qu'une mémoire DRAM normale. Utilisable essentiellement sur des machines munies de caches secondaires.
  • EDS:
    Electronic Data System : première SSII mondiale, filiale de General Motors. Forte de 60 000 collaborateurs (deux fois Cap GEMINI), elle s'est implantée en France en rachetant la filiale informatique de PECHINEY. Fut fondée et dirigée par le célèbre Ross PERROT, qui fut candidat à la Maison Blanche et qui a entraîné, selon certains, la chute du Président BUSH, lors de sa dernière tentative électorale.
  • EIDE:
    Enhanced IDE : amélioration du standard IDE permettant à ce dernier de survivre, grâce à une amélioration notable de son débit.
  • EIS:
    Executive Information System : Outil de présentation permettant à des non informaticiens de disposer directement d'informations concernant l'entreprise, d'où qu'elles proviennent. Suppose la mise en ?uvre de techniques et d'applications inter communicantes permettant la synthèse.
  • EISA:
    Extended Industry Standard Architecture : standard de définition des bus dans les micro-ordinateurs. Le standard EISA est une extension de l'ancien standard ISA. Il permet la transmission de données entre périphériques à des vitesses allant jusqu'à 32 millions d'octets par seconde. Le standard EISA a été adopté par l'ensemble des constructeurs de micro-ordinateurs sous l'impulsion de COMPAQ, et s'est opposé au standard IBM MCA, pour le mettre finalement KO.
  • EJB:
    Entreprise Java Beans : composants java personnalisés pour l'entreprise.
  • EMC2:
    Fabricant de périphérique pour gros ordinateurs. S'est spécialisée dans les disques et mémoires à très haute capacité de stockage. Numéro un dans son domaine, devant IBM, d'autant qu'IBM avait annoncé en 1995 de nombreux retard de livraison de sa nouvelle gamme RAMAC 2.
  • EMV:
    Europay Mastercard VISA : norme internationale de sécurité applicable aux cartes bancaire. S'oppose à la norme B0' utilisée longtemps par le groupement français des cartes bancaires.
  • ENIAC:
    Electronic Numerical Integrator And Computer : nom du premier ordinateur, selon les Américains. Conçu en 1945, il effectuait 5 000 additions par seconde, c'est à dire moins vite qu'une calculette de poche actuelle, mais il pesait 30 tonnes
  • ERP:
    Enterprise Resource Planning : logiciels intégrés de gestion d'entreprises. Ce type de logiciels, très lourds à intégrer, il est plutôt réservé au départ aux grandes organisations. Il tend à intégrer toutes le fonctions de l'entreprise afin de les mieux synthétiser sous forme de graphiques.
  • ESB:
    Enterprise Service Bus : technologie informatique inter logiciels permettant à des applications hétérogènes d'interagir au travers des services standards qu'elles mettent à disposition.Elle s'appuie sur de nombreux standards dont : Services Web (SOAP WSDL etc), JBI, JMS (Java Messaging Service), Connecteurs d'applications ou Langage XML. Une fonction intelligente de routage des services peut être mise en place pour organiser l'enchaînement des appels des différents services. L'ESB a été utilisé la première fois par l'éditeur Sonic Software (aujourd'hui racheté par Progress Software).
  • ETEBAC:
    Echange Télématique Entre les Banques et leurs Clients. Les normes ETEBAC ont été développées par les banques françaises pour permettre à leurs clients et à leurs agences bancaires la télétransmission de données normées. La plus utilisée actuellement est la norme ETEBAC 3 qui permet la télétransmission du fichier entre clients et banques dans un sens et dans l'autre, alors qu'ETEBAC 1 et ETEBAC 2 ne permettaient que les échanges dans un sens ou dans un autre. La norme ETEBAC 5 qui est la dernière norme définie se met petit à petit en place, et ajoute à la norme ETEBAC 3 la signature électronique et des notions de sécurité et de validation juridique.
  • ETL:
    Extract, Transform and Loading ou en français, Extraction Transformation Loading  : outils d'analyse et d'extraction de données contenues dans des gisements de données afin d'alimenter des outils décisionnels..
  • ETSI:
    Europeen Telecommunication Standard Institute : association d'opérateurs et de constructeurs européens cherchant à imposer des normes et des interfaces dans la technique des réseaux locaux sans fil.
  • FAI:
    Fournisseur d'Accès à Internet.
  • FAN:
    File Area Network : gestion de fichiers en réseau. Ensemble d'outils et de techniques qui organisent au mieux l'espace de stockage des systèmes de fichiers. Le FAN est aux fichiers ce que la SAN est aux "bmocs" de données.
  • FAQ:
    Frequently Asked Question. Il s'agit des questions les plus fréquentes posées sur Internet. Les documents d'information mis à la disposition des nouveaux venus dans le service pour répondre aux questions les plus fréquemment posées s'intitulent aussi FAQ.
  • FAT:
    File Allocation Table : désigne en système MS DOS un petit fichier situé au début d'un disque magnétique et contenant la table d'allocation des données sur ce disque. Sa destruction entraîne l'impossibilité d'accéder à toutes les données du disque.
  • FAT16:
    Système de fichier sous DOS et Windows XX conçu avec un adressage sur 16 bits.
  • FAT32:
    Système de fichier sous DOS et Windows XX conçu avec un adressage sur 32 bits. Sous Windows NT à été remplacé par NTFS.
  • FCAL:
    Fibre Channel Arbitred Loop : standard d'échange entre un contrôleur de disque et des lecteurs de disque en mode fibre optique. Soutenue par un consortium d'une soixantaine de sociétés, cette interface autorise des débits de 200 Mo/s à 400 Mo/s et permet d'entrevoir dans le futur des débits s'élevant à 800 Mo/s.
  • FCIP:
    Fibre Channel over Internet protocole (IP) : protocole assurant le traffic des trames sur fibre optique (fibre channel).Ce mode de travail induit une fusion des réseaux FC.
  • FCoE:
    Fibre Channel over Ethernet - Technique consitant à faire circuler des trame FC sur une couche physique Ethernet. Cette technologie utilise la norme 802.3, à laquelle est ajoutée la gestion des priorités. FCoE remplace les deux couches les plus basses de FC par une nouvelle définition logique et physique du protocole Ethernet 10 GBits/sec. amélioré pour mieux anticiper les comportements.
  • FCP:
    Fond Commun de Placements.
  • FDDI:
    Fiber Distributed Data Interface. Normes de communication entre machines hétérogènes par fibre optique. Permet théoriquement un débit de 100 milliards de bits par seconde.
  • FEVAD:
    Fédération de Entreprises de Vente A Distance
  • FLOPS:
    Floating Operation Per Second. Mesure la puissance des ordinateurs à caractère scientifique.
  • FORTRAN:
    FORmula TRANslation : langage informatique orienté vers le calcul scientifique, ce fut un des premiers langage modernes. Il fut conçu en 1954 par John Backus.
  • FRAM:
    Ferroelectric Random Access Memory : technologie de fabrication de RAM utilisant les capacités diélectriques de film ferroélectriques. De faible consommation électrique et disposant de temps d'écriture plus court que les mémoires Flash, ces mémoire sont fabriquées depuis 1993 à de faibles quantités.
  • FRDS:
    Failure Resistance Data Systems : 1° niveau de sécurité du Standard RAID nouvelle formule. Les données sont protégées et peuvent faire l'objet d'une restauration quand un disque ou un des composants du système de stockage (cluster, ...) subit une panne.
  • FSF:
    Free Software Foubndation. Principal organisation non gouvernemental gérant le Projet GNU et la license associée. FSF gère en particulier le site officiel www.gnu.org qui pilote l'ensemble des projet communs ou particulier de développement sous couvert de GNU.
  • FTDS:
    Failure Tolerant Data Systems : 2° niveau de sécurité du Standard RAID nouvelle formule. Les données sont disponibles en permanence, même lorsqu'un composant du système de stockage (cluster, ...) subit une panne. On peut ainsi réparer l'unité, sans cesser d'autoriser l'accès aux données. De plus les données sont protégées en cas de panne de l'environnement de stockage.
  • FTP:
    File Transfer Protocol : protocole de transfert de fichiers adoptés sur le réseau INTERNET. FTP est à Internet ce que NFS est au réseau NETWARE.
  • FTTH:
    Fiber To The Home : "fibre jusqu'à la maison". Acronyme définissant l'idée d'un câblage "tout optique" visant à imaginer chaque domicile privé ou public équipé avec une fibre optique terminal à la place de la paire de cuivre.
  • GANTT:

    Nom du savant éponyme inventeur de la technique. Le diagramme de GANTT est un outil permettant de modéliser la planification de tâches nécessaires à la réalisation d'un projet. Outil inventé en 1917 par Henry L. GANTT.

    Etant donné la relative facilité de lecture des diagrammes GANTT, cet outil est utilisé par la quasi-totalité des chefs de projet dans tous les secteurs. Le diagramme GANTT représente un outil pour le chef de projet, permettant de représenter graphiquement l'avancement du projet, mais c'est également un bon moyen de communication entre les différents acteurs d'un projet.

    Ce type de modélisation est particulièrement facile à mettre en œuvre avec un simple tableur. Il existe des outils spécialisés (Project de MS). Il existe par ailleurs des équivalents libres (et gratuits) de ce type de logiciel.

    Dans un diagramme de GANTT chaque tâche est représentée par une ligne, tandis que les colonnes représentent les jours, semaines ou mois du calendrier selon la durée du projet. Le temps estimé pour une tâche se modélise par une barre horizontale dont l'extrémité gauche est positionnée sur la date prévue de démarrage et l'extrémité droite sur la date prévue de fin de réalisation. Les tâches peuvent s'enchaîner séquentiellement ou bien être exécutées en parallèle.

  • GAP:
    Générateur Automatique de Programmes. Francisation du terme américain RPG.
  • GCAJ:
    Gestion des Crédits d'Aide Juridictionnelle : Logiciel de gestion des crédits de l'Etat destiné à rétribuer les avocats pour leur mission d'assistance et de conseil au justiciable. Développé par l'UNCA
  • GED:
    Gestion Electronique de Documents. Cette technique liée au classement et à l'exploitation de l'information, assure six fonctions principales : l'intégration des documents dans un système d'information, leur indexation, leur stockage, leur recherche, leur restitution et leur transmission.
  • GEIDE:
    Gestion Electronique de l'Information et des Documents Existants. Nouvelle définition de l'ancienne GED. La GEIDE synthétise l'utilisation du stockage des données du workflow et de la GED avec les technologies Intranet et Extranet.
  • GIE:
    Groupement d'Intérêts Economiques.
  • GIF:
    Graphic Interchange Format : format des fichiers images (Graphiques). Ce format offre l'avantage de générer des images stockées sous forme de petits fichiers, accessibles directement aussi bien par les systèmes Unix, Windows et Macintosh.
  • GMAO:
    Gestion de la Maintenance Assistée par Ordinateur : technique utilisée en informatique permettant la modélisation prévisionnelle de la maintenance et l'organisation induite de la maintenance préventive.
  • GMR:
    Giant Magneto Resistive. Nouvelle technologie de tête de lecture d'IBM permettant le stockage de 2,7 milliards de bits par pouces 2 en 1998.
  • GNU:
    GNU's Not UNIX : acronyme récursif se prononçant "Guh Noo" ou gnou avec le g en français, avec donc une allusion au mot "nouveau" (new). La traduction en français est non significative. En 1984, Richard STALLMAN quite le MIT pour créer ce concept et l'exploiter. Les concepteur du projet GNU prétendent pour leur par que GNU signifie "qui aime programmer et apprécie de le faire de manière astucieuse et intelligente" par opposition au concept "propriétaire". L'idée est donc sur des bases du sytème UNIX de créer un sytème d'exploitation "libre". En 1998 naît le terme "open source". Associé désormais au cencept de "license", le concept de "licence GNU" vient rappeler que "libre" ne signifie pas "gratuit", alors qu'en anglais le terme est le même à savoir "free". Un acquerir d'un logiciel libre, sous couvert d'une license GNU s'engage donc ainsi à mettre à disposition de la communauté l'ensemble des développements qu'il aura conçu. La gestion de ce projet (license, concept ...) est assumé depuis par la FREE SOFWARE FOUNDATION ou FSF. Linux est directement issu de ces travaux. Le site GNU prétend d'ailleurs que le nom du SE Linux devrait être GNU/LINUX.
  • GO:
    Giga Octet = 230 octets, soit environ un milliard d'octets.
  • GPAO:
    Gestion de Production Assistée par Ordinateur : technique utilisée en informatique pour l'automatisation de la gestion de production. Les principaux standards utilisés sont le MRP et le KANBAN ou JIT.
  • GPEC:
    Gestion Prévisionnelle Emplois et des Compétences. Concept de gestion du personnel qui s'impose en particulier aux SSII et introduit par la loi BORLOO (2005).
  • GPRS:
    General Packet Radio Services : technologie utilisée pour augmenter le débit et relier confortablement les mobiles à Internet. Cette technique est intermédiaire entre le GSM et l'UMTS.
  • GPS:
    Ground Positionning System. Système de positionnement très précis d'un mobile utilisant un réseau de satellites militaires américains. En fait, le DOD (Department Of Defense ou Ministère de la défense américaine) a mis en place un système très précis permettant de localiser ses sous-marins et ses navires à quelquefois mètres près, et même à quelques dizaines de centimètres près. Il a mis à la disposition du monde entier une utilisation légèrement dégradée, permettant un positionnement à quelques dizaines de mètres près, voire 100 mètres maximum. La première utilisation de ce système très précis a été rendue célèbre par un certain nombre d'événements comme la guerre du Golfe ou le rallye Paris Dakar. Il a rendu complètement obsolète le système des balises Argos utilisées jusqu'alors, de façon assez médiatique, par les différents navigateurs des grandes courses au large transatlantique ou circumterrestre. La dernière utilisation, plus proche de nous, est le positionnement des taxis parisiens qui permet à l'ordinateur de déterminer avec la plus grande exactitude quel est le taxi le plus proche de l'appelant et de permettre ainsi au client d'attendre un délais raisonnable en cas d'appel de taxi d'une part, et de ne pas payer une facture compteur déjà inscrite alors qu'il n'a pas encore été transporté.
  • GRC:
    Gestion de la relation Client. Francisation du vocable anglo-saxon CRM
  • GRP:
    Gestion des Règlements Pécuniaires. Logiciel de maniement de fonds développé pour l'UNCA
  • GSM:
    Global System for Mobile communication : norme européenne de transmissions avec les mobiles fondés sur l'utilisation de réseaux cellulaires, utilisés par la téléphonie sans fil et applicable aux données. Pour trans-porter les données, il est envisagé d'utiliser une trame TDMA. La particularité du réseau du radiotéléphone GSM est qu'il peut être utilisé théoriquement en Europe entière, sans modifier sa codification interne. Il se différencie donc de Radicocom 2000 par exemple, qui était un mode analogique, c'est à dire non numérisé.
  • GSM - R:
    Global System for Mobile communications Railways. Réseau GSM adapté aux transport par voie ferrée. Compatible avec la norme européenne EIRENE. Compatible avec une vitesse du train allant jusqu'à 500 km/h.
  • H 323:
    Ensemble de protocoles et d'échanges de l'UIT-T associant la voix, l'image et les données sous protocole IP. Devrait être remplacé par SIP avant 2010.
  • HID:
    Human Interface Device : périphériques de micro-ordinateurs destinés à l'acquisition de données et gérés par les drivers WDM.
  • HOT SPOTS:
    "Points Chauds" : zones géographiques ou lieux publics très fréquentés, dont la densité de fréquentation peut conduire à une rentabilité d'installation d'une borne radio pour les relais de téléphone sans fils aux normes WI-FI par exemple, permettant ainsi l'utilisation du téléphone portable pour les accès Internet et les échanges de messageries multimédia.
  • HP:
    Hewlett Packard : Devenu le n° 2 mondial de l'informatique américaine avant la fusion COMPAQ/DEC. Le système de management de HP a donné, en langage commun, un mode de pensée associé au cadre moderne intitulé HEWPEE (prononcé IOUPI). Les créateurs de HP, Bill Hewlett et David Packard, ont créé la dynastie des "garagistes'. Ils ont été les premier à s'installer dans la future "Silicon Valey" au fond d'un garage. Leur premier geste créatif : l'ordre de leur deux noms. C'est à pile ou face que la hasard a tranché : ce sera HP et nom pas "PH".
  • HP-IB:
    Hewlett Packard Interface Block. Système de connexion directe sur ordinateur HP.
  • HP-UX:
    Hewlett Packard Unix : Version HP du système Unix devenu par la suite HP UNIX.
  • HSCSD:
    High speed circuit swithed data : cette technologie est concurrente du GPRS et de ADGE pour l'amélioration des débits et entre les téléphones mobiles sur la technique GSM.
  • HSDPA:
    High Speed Downlink Packet Access : nouvelle évolution du protocole UMTS destiné à invrémenter les vitesse de transmission dans les mobiles sans fil. N'implique pas la remise en cause du réseau existant. Permet un débit théorique de 14 Mbits / sec.
  • HTML:
    HyperText Markup Language : format sémantique que doit respecter tout serveur WEB (connecté sur le réseau INTERNET). C'est un standard adopté par les utilisateurs du monde Internet pour créer des pages utilisables sur le WEB. Cet acronyme désigne un langage de développement de pages de textes permettant de considérer l'ensemble des serveurs WWW interconnectés sur INTERNET comme une sorte d'Hypertexte unique au sein duquel on "navigue" grâce à un simple "clic" sur des mots clefs indexés au sein des pages de textes.
  • HTTP:
    HyperText Transfer Protocol : protocole que doivent adopter les interfaces de transmissions de données sur un serveur Web du réseau INTERNET. Un exemple de norme respectant HTTP est le langage graphique MOSAIC. Permet par exemple à un document de transiter depuis un serveur WEB vers un navigateur de type Navigator ou Explorer.
  • HYPERLAN:
    High Performance Radio Line : réseau local sans fil à haut débit. Cette future norme de l'ETSI aurait la référence ETS300-652. C''est aussi le nom d'un consortium industriel mené par DASSAULT ELECTRONIQUE. Cette norme permettra la communication à haut débit sur les réseaux locaux sans fil.
  • HZ:
    Hertz. Unité de comptabilisation des ondes vibratoires signifiant une vibration par seconde.
  • I / O:
    Input / Output : entrée(s) et sortie(s) dans une carte électronique et plus spécialement dans un ordinateur.
  • IA:
    Intelligence Artificielle : Branche de la technique informatique orientée vers la simulation de l'intelligence humaine. Parmi les concepts induits, figurent la vision artificielle et les systèmes experts. Une des techniques utilisées est fondée sur la programmation "heuristique" permettant des raisonnements récursifs qui autorisent l'auto apprentissage par le système, ainsi que des choix intuitifs par opposition à la programmation classique qui suppose des raisonnements à caractère linéaire et exhaustif.
  • IAM:
    Identify and Access Management : gestion des accés et des identités (à un système d'information). L'IAM est une technique qui associe les utilisateurs aux ressources dont ils ont besoin en gérant au plus fin les droits et les autorisations dans une entité donnée.
  • IAPP:
    Inter Access Point Protocol : futur encodage destiné a être utilisé par la norme 802.11f
  • IAS:
    International Acounting Standards : norme de présentation comptable internationale prônées par l'Union Européenne devant s'imposer à partir de 2004 aux entreprises cotées en bourse. Baptisée parfois aussi IFRS. S'oppose à la norme américaine US GAAP.
  • IBM:
    International Business Machine : N° 1 mondial des fabricants d'ordinateurs. Si l'on retranche 1 lettre à chacune des trois on obtient H A L, nom de baptême de l'ordinateur du film "2 001 - Odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick.
  • ICL:
    International Computer Limited. Premier constructeur d'ordinateurs britanniques. Est placé désormais sur la coupe de FUJITSU.
  • IDE:
    Interface Data Exchange : Interface standard de connexion entre les disques magnétiques et leurs contrôleurs.
  • IDL:
    Interface Définition Language : langage de description défini par l'OMG permettant la définition d'un interface d'accès à un objet serveur indépendamment de la façon dont cet objet est écrit.
  • IDS:
    Intrusion Detection System : système de détection d'intrusion. Ensemble des techniques et des programmes aptes à censer protéger contre toute intrusion un système informatique. Code client destiné à surveiller avec génération d'une alerte les intrusions sur un poste de travail. Jugé complexe a été remplacé par le concept IPS.
  • IDS II:
    Integrated Data Storage II : base de données aux normes CODASYL sur matériel BULL sous les systèmes GCOS 7 et GCOS 8. A été conçue à l'origine par Charles W. Bachman au sein de la société General Elec-tric. Considérée comme le premier système de gestion de base de données.
  • IETF:
    Internet Engineering Task Force : Groupement d'utilisateurs qui définissent les standards utilisables sur le réseau INTERNET
  • iFCP:
    Internet Fibre Channel Protocol : protocole assurant le traffic des trames sur fibre optique (fibre channel). Ce mode de travail induit une indépendance des réseaux FC.
  • IHM:

    Interface Homme Machine : Tout moyen matériel ou logiciel permettant à une personne de communiquer avec un programme. Des exemples d'IHM sont les fenêtres, les boutons et menus déroulants. Par extension, qulifie aussi la qualité ou l'ergonomie d'une application, en relation avec son accessibilité par l'opérateur de l'application devant son écran.
  • IIOP:
    Internet Inter ORB's Protocol : protocole CORBA de communication entre les ORB.
  • IIS:
    Internet Information Server : logiciel conçu par Microsoft et qui, intégré à Windows NT, permet d'utiliser une plateforme NT comme serveur HTTP sur Internet.
  • IKE V2:
    Internet Key Exchange V2. Algorythme spécifique de chiffrement des données échangées lors de l'établissement d'un réseau privé virtuel s'établissement lors de la mise en oeuvre de la technologie UMA à travers les boîtiers UNC lors du tranfert entre réseaux sans fils.
  • ILM:
    Information Lifecycle Management : Gestion du cycle de Vie des Informations.Tecnique seravant à établir un équilibre entre disponibilité des données et coût du stockage.Concept datant du début des années 2000, ayant pour objectif de définir une politique de stockage s'appuyant sur une hiérarchisation effectuée par les couches métier elles-mêmes.
  • ILP:
    Information Leak Prevention : Protection contre la fuite d'information en entreprise.
  • IMAP4:
    Internet Message Access Protocol. La version 4 est la dernière version du protocole d'accès à un serveur de messagerie. Ce protocole nécessite les serveurs utilisant la norme SMTP. Grâce à IMAP, il est possible de rechercher une clé dans l'ensemble des courriers électroniques du serveur, ce qui rend inutile le rapatriement de ces derniers sur le site Client. IMAP est en concurrence avec POP.
  • IMS:
    Information Management System : Base de données sur matériel IBM de haut de gamme. Ce type de SGBD était très puissant car il devait être capable de gérer des bases comme AIR FRANCE ou la SNCF.
  • INRIA:
    Institut National de la Recherche en Informatique et en Automatique : organisme de recherche français, mi-public, mi-industriel. Implantée essentiellement à PARIS, SOFIA ANTIPOLIS et sur la ZIRST de MEYLAN-MONTBONNOT, l'INRIA est chargée avec le MIT du développement et de la maintenance de la messagerie sur INTERNET et assure ainsi la présidence du W3C.
  • INTEL:
    INTegrated ELectronics : Premier constructeur mondial de microprocesseurs. Un de ses ingénieurs, Ted HOF, inventa presque par hasard le premier d'entre eux, l'INTEL 4004. Depuis le 8086 jusqu'au PENTIUM, les microprocesseurs ont permis d'augmenter de façon drastique la puissance des micro-ordinateurs puis des ordinateurs eux-mêmes. L'évolution de cette puissance est allée de paire avec l'évolution du chiffre d'affaires et de la marge de la société INTEL.
  • IPC:
    Integrated Processors and Communications : constructeur de micro compatibles, c'était un exemple de réussite asiatique. Née à Singapour, IPC a acquis une taille et une respectabilité mondiale en quelques années. IPC disposait d'un réseau de vente en boutique sur le territoire national. Après avoir procédé à l'acquisition de deux SSII israéliennes, dont l'activité s'exerçait dans le domaine de la vidéo et de la compression de données, IPC s'est vu contraint de passer sous la coupe de BULL.
  • IPS:
    Intrusion Prevention System. Système de prévention d'intrusion. Ensemble des techniques et des programmes aptes à protéger contre toute intrusion un système informatique, par prévention de l'attaque en anticipant cette dernière.Outils de sécurités destinés à bloquer automatiquement les flux indésirables ou malicieux. Devrait remplaceer le concept IDS jugé trop complexe à gérer par les entreprises.
  • IPSec:
    Internet Protocol Security : Protocole de Sécurité sur Internet. Ce protocole intégré à IPV.6 n'est optionnel que sur IPV4. IPSec renferme les protocoles capables de garantir les fonctions de sécurité liés à l'authentifications des utilisateurs et des machines, à l'intégrité et à la confidentialité des données.
  • IPX:
    Internet Packet eXchange : protocole d'échange de paquets inter réseaux utilisé par le constructeur Novell pour l'ensemble de ses systèmes Netware.
  • IRC:
    Internet Relay Chat : Système de conférence en temps réel sur Internet.
  • IRCGN:
    Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie Nationale. Cette section de la Gendarmerie Nationale est un véritable service informatique muni de machines puissantes chargées d'analyser le contenu de tout ce qui est transmis sur le réseau Internet, octet par octet et bit par bit. Le FBI a créé son équivalent à travers le National Crime Information Center.
  • IRDA:
    Infrared Data Association : association pour les données infrarouges, groupe de travail constitué pour promouvoir les techniques de transmission fondées sur les ondes infrarouges et en particulier sur la norme IRDA-DVIFR.
  • IRIP:
    Icalendar Realtime Interoperability Protocol : Protocole d'échange entre services de calendriers et agendas permettant l'interopérabilité des différents calendriers et l'échange d'informations en ligne.
  • ISAM:
    Indexed Sequential Access Method : méthode d'organisation de fichiers intitulée "séquentielle indexée" en français. Permet, par l'intermédiaire d'une table d'index d'accéder plus directement à une adresse physique sur le disque où se trouve l'information cherchée.
  • ISDN:
    Integrated Services Digital Network : acronyme anglo-saxon de RNIS.
  • ISM:
    Industrial Scientific and Medical : bande passante correspondant à un spectre utilisable par les différentes technologies de liaisons sans fil. Le spectre ISM couvre la bande de 2,400 à 2,4835 Ghertz. Cette bande est réservée à une utilisation susceptible d'une autorisation par les différentes administrations assurant la couverture Hertzienne sur les territoires concernés.
  • ISO:
    International Standards Organisation : organisme international de normalisation. Fédération de toutes les organisations nationales. En France, l'AFNOR. Particulièrement reconnu dans le domaine de la communication.
  • ITIL:
    Information Technology Infrastructure Library. Baptisé "modèle ou référentiel des bonnes pratiques", ce concept se veut l'outil de référence en matière de gestion des services informatiques. Le concept ITIL permet d'nstaurer les procédures de développement adéquates.
  • ITU:
    International Telecommunication Union : Organisme mondial, responsable de l'interopérabilité de l'ensemble des réseaux publics nationaux de téléphone. Se subdivise en ITU-T et ITU-R.
  • ITU-R:
    International Telecommunication Union Radiocom : Branche de l'ITU consacrée aux radiocommunications.
  • ITU-T:
    International Telecommunication Union Telecom : Branche de l'ITU consacrée aux télécommunications.
  • IUFM:
    Institut Universitaire de Formation des Maîtres.
  • J2EE:
    JAVA 2 Enterprise Edition : plate forme intégrée de développement objet de serveur web. Cet AGL intègre de fait tous les outils standards induite par les techniques issues du langage JAVA 2 : servlets, JSP, ainsi que les API directs du serveur si nécessaire.
  • JAD:
    Joint Application Design. Cette phase de développement en méthode RAD comporte en général deux séminaires de 2 ou 3 jours. Les participants sont les mêmes que dans la phase JRP. La phase JAD se compare à la phase de conception d'un projet traditionnel.
  • JAVA:
    Langage de programmation portable universel (en théorie). Ce langage conçu et développé par Sun semble devenir un standard adopté par de très nombreux constructeurs et fournisseurs de services sur Internet. Conçu par Patrick NAUGHTON et James GOSLING, JAVA (se prononce KAOUA) doit son nom aux nuits blanches passées à lui chercher un nom de baptême. Le nom initial était "Oak" en référence au chêne aperçu depuis la fenêtre du bureau de GOSLING.
  • JDK:
    Java Development Kit : outils de développement de logiciels en environnement JAVA. Ensemble de logiciels fournis par SUN constituant un environnement de développement pour les équipes chargées de produire du code JAVA. Le JDK, depuis 1996, inclus un pré compilateur qui produit du "byte code" destiné à être exécuté par la JVM cliente.
  • JIT:
    Just In Time : technique de production fondée sur le "juste à temps", intitulée aussi "flux tiré" ou KAmBAN. Vocable emprunté à l'industrie japonaise qui fut la première à la mettre en ?uvre sur une grande échelle. Complémentaire ou opposée au MRP, cette technique gère la production en fonction des commandes clients et cherche à réduire les stocks au minimum. L'automatisation poussée de cette technique à l'aide d'outils de GPAO puissants a entraîné deux conséquences macro-économiques nettement perceptibles : la diminution des stocks et la prolifération des moyens de transport routiers.
  • JRE:
    Java Runtime Environment. Environnement Java développé par SUN pour être exécuté sur les machines clients d'une architecture client serveur ou dans un environnement Internet / Intranet.
  • JRP:
    Joint Requirement Planning. Cette première phase de la méthode RAD est un séminaire de démarrage du projet où les besoins sont exprimés, en particulier à propos du produit à livrer. Ce séminaire dure environ 3 jours. Il réunit les utilisateurs, les experts par métiers, les informaticiens ainsi qu'un animateur ou faciliteur. On peut assimiler ce groupe à un atelier d'expression des besoins.
  • JTC:
    JAVA Tools Community : groupe des outils développés en langage JAVA. Ce groupe à été formé au début de l'année 2004 avec les éditeurs SUN BEA ORACLE. Son but est d'assurer une interropérabilité entre les différents outils de développement en langage JAVA. Coucurrence au départ l'outil IBM open source ECLIPSE.
  • JVM:
    Java Virtual Machine : machine virtuelle Java. Ensemble des logiciels destinés à être implantés sur la machine "client" et permettant à cette dernière d'exécuter localement les applets JAVA en byte code importés automatiquement depuis le serveur par le navigateur Internat.
  • KNI:
    Katmai New Instruction : autre nom provenant du nom de code du Pentium III avant son annonce, à savoir Katmai, des instructions streaming SIMD.
  • KO:
    Kilo-octet = 210 octets
  • KVM:
    Keyboard Video Mouse : Clavier Video Souris. Associé à la notre de communtateur, ces dipositifs permettent le partage des trois périphériques entre plusieurs serveurs ou matériels.
  • L2F:
    Layer 2 Forwarding : Protocole développé par CISCO pour la transmission de flux dans un réseau privé virtuel de niveau 2.
  • L2TP:
    Layer 2 Tunneling Protocol : Protocole développé par IETF pour la transmission de flux dans un réseau privé virtuel de niveau 2.
  • L4G:
    Langage de 4ème Génération
  • LAMP:
    Linux, Apache, MySql, PHP : acronyme se rapportant aux quatre produits standards "libres" constitutif d'une plate-forme serveur WEB de base et utilisé en 2003 par plus de 60 % des sites professionnels interactifs. Lamp était utilisé par YAHOO, Boursorama et Neowiz.
  • LAN:
    Local Area Network. Réseau local permettant l'interconnexion dans une entreprise entre plusieurs systèmes sans passer par un opérateur de transmission de données (en France, FRANCE TELECOM par exemple).
  • LCD:
    Liquid Cristal Display : écran à cristal liquide. Cette technique permet à un moniteur de station de travail ou d'ordinateur de disposer de performances en masse et en taille très améliorées. En effet ces écrans "plats" sont d'un poids inférieur à 9 kilo pour une épaisseur hors socle inférieure à 10 cm.
  • LCEN:
    Loi sur la Confiance dans l'Economie Numérique. La loi du 13/05/2004, dite loi LCEN, met en œuvre les directives européennes du 06/08/2000 n° 2000/31/CE relatives au commerce électronique. Cette loi comporte en particulier un volet qui sous entend que les hébergeurs sont désormais chargés de suspendre les contenus illicites que leurs clients pourraient inclure dans les données confiées (hébergées).Cette loi sur le fond donne naissance à un véritable droit autonome pour le commerce électronique.
  • LDAP:
    Lightweight Directory Access Protocol : Protocole simplifié d'accès au service d'annuaire. Ce protocole fourni par l'IETF est une version simplifiée de X500 permettant l'interopérabilité des annuaires sur machines hétérogènes. LDAP est à la fois un terme générique désignant un modèle d'information et un protocole pour interroger et manipuler des annuaires.
  • LED:
    Light Emitting Diode ou Diode Electroluminescente (DEL en français). Ces composants semi-conducteurs émettent de la lumière incohérente très utilisée pour servir de voyant lumineux dans les ordinateurs.
  • LETI:
    Laboratoire d'Etudes des Technologies de l'Informatique. Laboratoire associé au CEA. A l'origine de la création de la division électronique de THOMSON. Générateur de très nombreux brevets et techniques en matière informatique et électronique en France.
  • LISP:
    LISt Processing : langage de programmation conçu en 1958 pour les applications exclusivement orientées vers l'Intelligence Artificielle.
  • LMD:
    License Master Doctorat. Mise en ouvre de l'uniformisation européenne des cursus universitaire conduisant à une régulation de la durée des cycles d'études sur la base 3 - 5 ou 8 ans.
  • LMDS:
    Local Multipoint Distribution Service. Technologie de transmission locale (50 km environ), sans fil qui fonctionne sur les bandes de 27 à 31 Giga Hertz. A partir d'un point local, par exemple un dirigeable, cette technique permet des échanges directionnels à haut débit (jusqu'à 1,5 Gigabits par seconde). Son avantage principal est le caractère local et rustique des infrastructures exigées par rapport aux satellites.
  • LSI:
    Large Scale Integration. Niveau d'intégration des circuits intégrés.
  • LTO:
    Technologie de sauvegarde sur streamer mis au point par IBM avec ses modèles ULTRIUM. Cette technologie a été adoptée par la suite par HP et SEAGATE.en 2003, le niveau LTO-3 autorisait un débit de 80 MO / s pour une capacité par cartouche (mono axe) de 400 GO soit 800 GO en mode compressé.
  • LVD:
    Low Voltage Differential : Evolution ultime de la technologie SCS, l'ultra II SCSILVD assure un débit pouvant atteindre 80 millions d'octets par seconde.
  • MAPI:
    Messaging Application Programing Interface : standard de programmation MICROSOFT d'échange de messages sous WINDOWS.
  • MBF:
    Microsoft Business Framework : langage et plate forme de développement développés par Microsoft en 2003.
  • MCA:
    Micro Channel Architecture : standard de communication entre les périphériques aux normes IBM (s'oppose au bus EISA). Permet le transfert de données à une vitesse maximum d'environ 40 millions d'octets par seconde. N'a jamais pu s'imposer face à IDE.
  • MDM:
    Master Data Management : pilotage centralisé des données. Cette technologie se veut la transposition dans le monde transactionnel du concept de l'entreposage des données. Il s'agit en 2004 pour certains éditeurs de fédérer certaines applications avec certains référentiels qui sont théoriquement fondés sur des entités stratégiques : clients, fournisseurs, produits et employés. La MDM est donc un référentiel qui, concentrant l'ensemble des données relatives à un objet métier, les diffuse ensuite vers les différentes aplication dites transactionnelles, facilitant ainsi le dialogue entre ces applications tout en assurant une cohérence des données trans applicatives.
  • MES:
    Manufacturing Execution System. Processus répondant aux pbesoins d'amélioration des systèmes de fabrications et de pilotage en temps réel. Il s'agit d'un modèle de système d'Information du processus de fabrication. Il forme un sytème cohérent pour les hommes concernés par les processus de fabrication. Il collationne les données de fabrication en tmps réelet fournit des tableaux de bord pour le pilotage de la production.
  • MGCP:
    Media Gateway Control Protocol : protocole agissant à la périphérie du réseau de l'opérateur pour piloter les téléphones à distance. Ce protocole agit selon le principe "maître-esclave", les postes de téléphonie IP étant alors sous le contrôle du serveur central.
  • MHZ:
    Méga Hertz = 1 million de vibrations par seconde. Utilisé pour quantifier la fréquence de calage des horloges des ordinateurs. Fondée en général sur un quartz excité électriquement, et dont la fréquence de vibration cadence le fonctionnement des unités centrales
  • MIF:
    Management Information Format. Format de messages véhiculés par les agents permettant l'administration de réseau, particulièrement au standard DMI.
  • MIME:
    Multipurpose Internet Mail Extensions ou Extensions généralisées du courrier Internet. Ce protocole est une extension de SMTP permettant d'étendre ses fonctions sur 8 bits.
  • MIMO:
    Multiple Inpout Multiple Output : Cette technologie, intervient dans le spectre UWB ou ultra wide band, et se pose en successeur éventuel de bluetooth. Conçue par la société AGERE (ex Lucent Technologie, ex ITT) consiste à utiliser sur un support de type radio les techniques employées dans le monde des liaisons filaires comme le RNIS par exemple.
  • MIPS:
    Millions d'Instructions Par Seconde (ou Million of Instructions per Second) : représente une unité de mesure approximative de la puissance des unités centrales des ordinateurs. Une Société américaine fabriquant les microprocesseurs utilisés en OEM par d'autres sociétés (R 4000, R 6000, etc..).
  • MIT:
    Massachussetts Institute of Technology : très célèbre laboratoire de recherche américain situé dans la région de BOSTON. Ses chercheurs sont à l'origine de très nombreuses découvertes et innovations en matière informatique dont, entre autres, UNIX et INTERNET.
  • MITI:
    Ministry of Industrial Trade and Industry : le ministère de la recherche et de l'industrie est le passage obligé au Japon pour tout ce qui touche à l'informatique. Le MITI a créé entre autres le complexe technologique de TSUKUBA à 60 km de TOKYO. C'est là qu'on à étudié les ordinateurs de "cinquième génération" avec le langage PROLOG (sans "e"), avec un succès très mitigé.
  • MITS:
    Micro Instrumentation and Telemetry Systems : société conceptrice du premier micro-ordinateur américain le MITS 816 puis de l'ALTAIR.
  • MMDS:
    Multichanel Microwave Distribution System : technologie téléphonique de diffusion sur câbles télévision permettant éventuellement d'utiliser ce dernier comme solution alternative pour la boucle locale téléphonique (installation terminale de l'abonné au téléphone).
  • MMX:
    Multi Média extensions : désigne un modèle du Pentium annoncé en 1997 par INTEL et qui correspond à l'adjonction d'une cinquantaine d'instructions destinées plus particulièrement à être utilisées sur des machines à vocation multimédia. Ces instructions spécifiques et nouvelles sont essentiellement destinées à accélérer le traitement des données graphiques, sonores, vidéos, ainsi que certaines instructions de télécommunication.
  • MO:
    Méga Octet = 220 octets ou environ un million d'octets
  • MOM:
    Message Oriented Middleware : ce sont des sortes de "bus logiciels", qui ont la particularité d'être asynchrones. Utilisée par les gestionnaires de "file d'attente de messages" ou "message queuing" cette technique est réputée fiable et robuste du fait du stockage des messages dans la file d'attente.
  • MOSAIC:
    Standard graphique initial pour les logiciels clients devant se connecter au réseau INTERNET.
  • MPEG:
    Motion Picture Expert Group : Standard de compression et de décompression des images vidéo numérique. Ce standard peut se décliner en niveaux : MPEG 1, 2 et 4. L'absence de compression sur une image numérique va exiger un volume de stockage sur disque égal à environ 26 millions d'octets. Le taux de compression avec ce standard peur atteindre un facteur de 40 et même de 100 pour les CD ROM. Cela signifie qu'un fichier contenant des images numérisées dont la taille serait de 100 millions d'octets, n'occuperait plus que 1 million d'octets sur disque après utilisation d'un utilitaire au standard MPEG. Ce standard fut en concurrence avec AVI de Microsoft et INDEO de INTEL. Seul MPEG a survécu avec MPEG 4, standard de convergence de l'image et du son, les transmissions par Internet sont facilitées. Très utilisé avec le DVD pour la vidéo.
  • MPOA:
    Multi Protocol Over ATM. Protocole permettant la fonction de routage au niveau des commutateurs. Ce standard en cours de développement devrait permettre la disponibilité du routage multi protocole sur les technologies ATM.
  • MR:
    Magnéto Résistive : Technique de fabrication de têtes de lecture intégrées de disques dur.
  • MRAM:
    Magnetic RAM : RAM magnétique. Cette technologie de fabrication des mémoires exploite la polarisation d'un film magnétique en utilisant les champs magnétiques créés par la rotation des électrons sur eux-mêmes ou spin. C'est ce qui les différencie des DRAM, où on utilise la charge de l'électron. Il en résulté une mémoire non volatile, très rapide et peu gourmande en énergie.
  • MRP:
    Material Requirements Planning : technique de production fondée sur la planification itérative des besoins. Est aussi intitulée gestion en "flux poussé".
  • MS DOS:
    MicroSoft Disk Operating System : c'est le système d'exploitation du PC compatible IBM par excellence.
  • MSF:
    Multiservice Fourum. Chargé de définir les standards de l'architecture physique induite par la technologie IMS.
  • MSN:
    MicroSoft Network : : nom du service en ligne de Microsoft concurrent des services comme Compuserve, America On Line, Calvacom, etc. ... Sa particularité est que son accès est fourni en standard avec le système d'exploitation WINDOWS 95. Cette caractéristique a fait aussi l'objet d'attaques en règle de la part des professionnels devant la justice américaine.
  • MTBF:
    Mean Time Between Failures : temps moyen entre pannes. Ce paramètre est fourni par certains constructeurs de périphérique, comme les lecteurs de disque. Il exprime un temps théorique entre deux pannes. Les disques aujourd'hui sont vendus avec des MTBF de 8 000 à 15 000 heures. On parle aujourd'hui de MTTF et de MTTR.
  • MTTF:
    Mean Time To Failures : temps moyen jusqu'à la prochaine panne.
  • MTTR:
    Mean Time To Répare : temps moyen jusqu'à la prochaine réparation.
  • MVNE:
    Mobile Vitual Network Enabler Le MVNE fourni au MVNO les technologies et les services qui lui permettent de développer son offre comme un véritable opérateur de télécommunication.
  • MVNO:
    Mobile Virtual Network Operator ou opérateur vituel de réseau pour mobiles.
  • MVS:
    Multiple Virtual Storage. Système d'exploitation qui remplace désormais le DOS et l'OS sur les grands systèmes IBM
  • MVS XA:
    Multiple Virtual Storage Extended Architecture : extension de MVS permettant la gestion de données à partir d'un adressage étendu et donc la gestion de mémoires et de fichiers plus important
  • NAND:

    NO (et) AND : non (et) ET. Une fonction logique permet de combiner des signaux logiques selon les lois de l'algèbre de Boole. La porte NAND est la plus simple à réaliser du point de vue technologique. Il est possible de réaliser toutes les fonctions logiques en utilisant uniquement ce type de porte. Pour le montrer, il suffit d'utiliser les théorèmes de De Morgan.

  • NAS:
    Network Attach Storage : stockage relié au réseau. C'est un réseau qui relie directement entre elles les baies de stockages des données au réseau local à travers un serveur. Ce dernier peut-être intégré et/ou dédié.
  • NASTRAN:
    Nasa's Structural Analyser : langage de programmation qui devint en 1965, sous l'impulsion de la NASA un code universel pour les calculs d'éléments finis. L'administration spatiale américaine définit ainsi un standard de programmation pour le calcul par décomposition en éléments finis des structures.
  • NC:
    Network Computer : ordinateur de réseau. Ce sigle a été déposé dans le monde entier par Oracle. Il désigne un standard de PC adapté au réseau, standard soutenu par tous les grands noms de la profession ... en dehors de Microsoft. Selon ses promoteurs, va devenir l'ordinateur simplifié dédié aux accès Internet. S'oppose au NET PC conçu par INTEL et MICROSOFT.
  • NCR:
    National Cash Registers. Société américaine d'ordinateurs qui a eu ses heures de gloire dans les années 70. Très connue pour ses caisses enregistreuses. Ne commercialise aujourd'hui que des mini sous UNIX et ceci dans le cadre du groupe ATT.
  • NEC:
    Nippon Electronical Computer. N° 1 japonais des constructeurs d'ordinateurs.
  • NETBIOS:
    Network Basic Imput Outpout System : système de communication réseau initialement développé pour les machines exploitées sous le système d'exploitation MD/DOS.
  • NETPC:
    Network Personal Computer : cet ordinateur de réseau, plus intelligent que le NC, a été conçu par INTEL et Microsoft et s'opposait au NC d'Oracle. Une centaine de fabricants dans le monde entier se sont rattachés à ce standard.
  • NFC:

    Near Field Communication. Acronyme désignant une puce électronique, embarquée sur un mobile, qui contient la couche radiofréquence mutiprotocole. Il s'agit d'une technologie développée pour la radiofréquence à courte portée. Destinée à être utile sur des distance inférieures à 10 cm et étudiée pour être compatible avec la RFID.

    La NFC peut ainsi transformer un téléphone portable en titre de trasport ou en carte de payement. Cette puce émet une requête lors du passage à un tourniquet dans le Métro (par exemple) et la carte SIM associée valide cette requête. Sa particularité est de pouvoir fonctionner y compris lorsque le mobile (téléphone ou TV mobile) est éteint. Les mises à jour sont alors effectuée selon la technologie "Over the Air" ou OTA.

  • NFS:
    Network File System : standard de formatage de fichiers développés par SUN pour faciliter les échanges de données entre plates-formes UNIX.
  • NGT:
    New Generation Technology : spécification nouvelle d'une technologie visant à accélérer et simplifier le développement d'interfaces de navigation sur Internet. Cette technique est constituée d'un nouveau moteur intitulé NG Layout particulièrement optimisé et compatible avec les plus récentes normes validées par le consortium W3C. Cette technique est essentiellement mise en avant par Netscape autour de l'organisation baptisée MOZILLA qui est une émanation de Netscape et de la communauté Internet et des développeurs des logiciels clients de Netscape.
  • NIC:
    Network Information Center : Organisme responsable de l'enregistrement des noms de domaines. En France, il s'appelle NIC France et est donc chargé du contrôle des enregistrements des domaines dépendants de l'hexagone, c'est à dire des domaines dont l'extension est ".fr".
  • NLM:
    Netware Loadable Module : standard d'écriture de programmes et d'utilitaires pour l'intégration en douceur de nouvelles applications, pour la gestion et la surveillance des réseaux NOVELL (Netware). Particulièrement indispensables pour les antivirus utilisés en mode réseau.
  • NNTP:
    Network News Transfer Protocol : protocole de réception et d'envois de documents dans les groupes de discussion d'Internet ou "Usenet newsgroups".
  • NRAM:
    Nanoscale Random Access Memory : technique de fabrication de mémoire fondée sur l'utilisation de nanotubes en carbone. Ces nanotubes, de quelques atomes de diamètre, soit environ quelques nanomètres, sont très durs comme le diamant, souples et très bon conducteurs comme le cuivre.
  • NS-DK:
    Nat System Development Kit : L4G de développement particulièrement performant de la Société Nat Système.
  • NT:
    New Technology, associé à WINDOWS pour définir le nouveau système d'exploitation pour serveur remplaçant à la fois le DOS et WINDOWS chez Microsoft.
  • NTFS:
    New technology file system : c'est le gestionnaire de fichiers sous Windows NT permettant de déterminer l'allocation des fichiers sur disque. NTFS dispose de granules dont la traille peut varier de 512 octets à 4 koctets et permet ainsi de gérer des disques plus importants qu'avec le système FAT.
  • NTT:
    Nippon Telegraph and Telephone. Société nationale japonaise, équivalent à France Télécom. N° 1 mondial en CA dans le domaine des télécommunications.
  • NUMA:
    Non Uniform Memory Access. Architecture d'ordinateurs multiprocesseurs destinée aux serveurs d'entreprises composés de nombreux processeurs. Cette technique permet à un système multiprocesseurs d'accéder à une partie de la mémoire à laquelle il n'est pas directement reliée. Il s'agit donc d'un système multiprocesseur où la mémoire est partiellement ou entièrement distribuée. Utilisée par HP, Data General, Compaq, DELL, IBM et d'autres, cette architecture autorise des accès désynchronisés entre les différents microprocesseurs à la mémoire. En résumé, une machine SMP est une machine UMA, une machine MPP est une machine NUMA. Utilisée de manière particulièrement significative par AMD sur son processeur OPTERON pour se distiguer d'INTEL.
  • OAG:
    Open Application Group : organe émanent de grands éditeurs voulant élaborer des standards en matière d'intégration de logiciels applicatifs ERP (gestion intégrée de l'entreprise).
  • OAT:
    Obligation Assimilable du Trésor.
  • OAW:
    Optically Assisted Winchester : technologie winchester assistée par rayons laser. Cette technologie conçue par la société Quinta a été rachetée par Seagate. Elle autorise la fabrication théorique de disques durs de 40 giga octets. Elle est fondée sur l'utilisation de têtes de lecture équipées d'un faisceau laser. La couche magnétique du disque lui-même quant à elle doit comporter des métaux de transition à base de minéraux amorphes pour être efficaces et réfléchir de manière sélective les rayons laser.
  • OCLCTIC:
    Office Central de Lutte contre la Criminalité liée aux techniques de l'Informatique et des Télécommunications.Organisme national de la police scientifique dévolu aux NTIC depuis le 15/12/2000.
  • OCR:
    Optical Caracter Recognition ou Reconnaissance Optique de Caractère. Cette technique utilisant des logiciels de reconnaissance optique permet de ne plus considérer les données en provenance d'un scanner comme une simple image mais permettent à l'intérieur d'une image de lire véritablement le texte grâce aux techniques OCR. Ces textes peuvent ensuite être intégrés avec des fiabilités pouvant être très importantes dans des traitements de textes de type Word. Les organismes bancaires à travers les lecteurs de chèques ont été les premiers à utiliser la lecture optique pour reconnaître les caractères automatiquement et ceci depuis les années 60.
  • OCX:
    Object Linked and embedding Control Custom. Technologie concurrençant le logiciel JAVA de SUN développé par MICROSOFT. Cette technique permet d'intégrer dans des pages Web par l'intermédiaire du langage Visual Basic Script, un support permettant d'améliorer le téléchargement sur le réseau d'un logiciel et de l'exécuter localement avec toute l'interactivité promise. Le nouveau nom de OCX est désormais Activex.
  • OEM:
    Other Equipment Manufacturer : désigne un constructeur utilisant tout ou partie des machines fabriquées par un autre constructeur qui, une fois re carrossées et ré étiquetées, seront vendues sous sa propre appellation.
  • OFDM:
    Orthogonal Frequency Division Multiplexing : technique de multiplexage permettant d'améliorer les performances en débit de la couche physique du modèle à 7 couches OSI. Essentiellement utilisés dans les protocoles 802.11a pour la bande passante 5 Ghertz et pour la bande passante 2,4 Ghertz pour le protocole 802.11g.
  • OFDMA:
    OFDM Access. Cette technique de modulation permet d'augmenter le nombre de sous porteuses à 2048 réduisant ainsi les interférences et augmente donc le débit possible.
  • OLAP:
    On Line Analytical Processing : outil d'analyse temps réel de base de données complexes permettant d'obtenir la plupart du temps, des synthèses graphiques. Les concepts OLAP sont généralement issus du traitement des bases de données relationnelles. Cet acronyme désigne en fait aussi bien le traitement appliquées aux données décisionnelles que le modèle des données, modèle multidimensionnel.
  • OLE:
    Object Linking and Embedding : liaison et intégration d'objets. Technique standard de programmation sous WINDOWS permettant "l'encapsulation" et donc la communication de programmes à programmes avec des interfaces standardisés. Permet à une application dite serveur de créer un objet à l'intérieur d'un document en provenance d'une application dite cliente. OLE associée à COM/DCOM représente le modèle d'objet distribué de Microsoft dans le monde WINDOWS et Mac OS.
  • OLE DB:
    Object Linking and Embedding database : proposition de spécification de norme publiée en 1997, destinée à définir une interface de programmation pour l'accès aux données contenues dans les moteurs analytique des logiciels décisionnels.
  • OLED:
    Organic lignt Emitted Diode : diode electroluminescente otganique. Cette technologie, découverte en 1991, est destinée à remplacer éventuellemnt les dalles d'écran à cristaux liquide. Il n'est toutefois pas nécessaire de prévoir un rétro éclairage.Bonne qualité d'image, faible épaisseur, vue d'angle pouvant atteindre 165° y compris en pleine lumière, tels sont les avantages les plus significatif des écrans OLED.Ils offrent totefois une résolution limitée.
  • OMG:
    Object Management Group : organisme international regroupant les principaux acteurs dans le monde de la programmation objet, équivalent de l'organisme similaire OSF pour UNIX. Définit les normes de programmation et de modélisation pour tout ce qui concerne le système de programmation objet.
  • OPA:
    Offre Publique d'Achat : opération boursière consistant à se déclarer acheteur de la totalité du capital d'une société cotée en bourse.
  • OPCVM:
    Opération de Placements en Capitaux sur Valeurs Mobilières.
  • OPSEC:
    Open Platform for Secure Enterprise Connectivity : alliance formée par une centaine de constructeurs de matériel et de concepteurs de logiciels intervenant sur le marché Internet. Ce groupe collabore à la définition d'un standard pour les pares feux (firewall).
  • ORB:
    Object Request Broker : ensemble des services (programmes utilitaires) gérant les communications entre les objets distribués d'une application "client serveur"
  • OS:
    Operating System : nom générique pour désigner un système d'exploitation. A désigné en son temps le système d'exploitation de la gamme la plus haute chez IBM.
  • OS 9:
    Operating System 9 : système d'exploitation dérivé d'Unix, destiné à une utilisation en informatique industrielle et temps réel. Se rencontre très souvent sur des cartes processeur GESPAC d'origine helvétique, fondées sur la gamme des microprocesseur Motorola 68 000.
  • OS 9 000:
    Operating System 9 000 : évolution du système d'exploitation OS 9.
  • OSF:
    Open System Foundation : organisme fédérateur définissant les normes et les interfaces standard sous UNIX. Son antenne européenne était installée à Grenoble. A été cédée récemment à SILICOMP.
  • OSI:

    Open Systems Interconnection. : Interconnexion des systèmes ouverts. Modèle à 7 couches déposé par l'ISO définissant et normalisant l'ensemble des services de communication nécessaires aux échanges entre deux systèmes informatiques hétérogènes quelconques. Ce modèle, particulièrement complet, est très fréquemment utilisé comme référence pour comparer les réseaux utilisés sur le marché. En pratique, la norme OSI a été finalement très peu utilisée et a surtout été complètement dépassée par le protocole TCP / IP.

    A titre de simple rappel, les différentes couches du modèle OSI sont les suivantes, de 1 à 7 croissant : Physique, Liaison, Réseau, Transport, Session, Présentation, Application.

  • OTA:
    Over The Air. Tehcnologie de télétransmission permettant à un opérateur de télécharger les nouveaux codes de sécurité d'une carte SIM ou d'en modifier le contenu. Permet aussi l'embarquement d'applications sur une carte SIM.
  • OTM:
    Object Transaction Monitor ou Moniteur Transactionnel orienté Objet. Ces couches logiciels ou middleware doivent être considérées comme étant l'équivalent des moniteurs transactionnels classiques mais en technologie objet. Ils sont essentiellement envisagés comme le support des infrastructures pour le commerce électronique sur Internet.
  • PA-RISC:
    Précision Architecture - RISC : c'est l'architecture RISC déclinée par HP, qui le premier a su bouleverser ses gammes de machines HP 3 000 et HP 9 000 pour les faire migrer vers une architecture unique de matériels fondés sur PA-RISC, alors que les systèmes d'exploitation étaient différents : Unix pour la gamme 9 000 et HP-MPV pour la gamme 3 000 (propriétaire).
  • PABX:
    Private Automatic Branch eXchange : autocommutateur numérique privé permettant, au sein d'une entreprise, la commutation multimédia (téléphones, voix, données, images, télévisions etc. ...)
  • PAN:
    Personnel Area Nethwork : ou Zone de réseau personnel. Ce vocable est utilisé afin de définir un micro réseau personnel sans fil reliant des terminaux mobiles de type ordinateur portable, téléphones portables, assistants personnels ou PDA et même l'appareil de photo numérique. Le concept de PAN a été évoqué à l'occasion de l'émergence de la technologie BLUETOOTH et des techniques infrarouges.
  • PAO:
    Publication Assistée par Ordinateur
  • PARC:
    Palo Alto Research Center : centre de recherches scientifiques de RANK XEROX situé à Palo Alto. Ce centre à été rendu célèbre car on y a développé énormément d'idées nouvelles, malheureusement commercialisées par d'autres sociétés. Citons entre autres : l'interface graphique et les icônes qui ont servi de base au MACINTOSH et à WINDOWS, la souris, le langage de description de page POSTSCRIPT, le premier langage objet SMALLTALK et l'un des premiers micro-ordinateurs américains, l'ALTO. De nombreux ingénieurs créateurs de sociétés célèbres y ont fait leurs débuts comme les créateurs de ADOBE, ALDUS, ....
  • PC:
    Personnal Computer : cet acronyme est une abréviation du nom de baptême de son micro-ordinateur par IBM. En effet, IBM a donné comme nom à son premier micro "Personnal Computer". Les autres constructeurs de micro-ordinateurs, basant leur propre machine sur le même microprocesseur INTEL, l'ont alors baptisé "compatible IBM Personal Computer ou "compatible PC". A la longue, seul est resté l'acronyme PC, l'origine IBM étant oubliée depuis que ce constructeur n'occupe plus qu'une place d'honneur en terme de ventes, oscillant du deuxième au quatrième rang selon les années.
  • PCA:
    Plan de Continuité d'Activité. Définition "moderne" (2004) des plans de reprise de l'activité d'un centre informatique en cas de sinistre. se décline qussi en PCO (Plan de Continuité Opérationel) et PDMA ou Perte de Données Maximale Admissible.
  • PCBX:
    Personal computer branch exchange : concept permettant de considérer la micro informatique comme permettant de coupler la téléphonie et l'informatique et donc les techniques de PABX et de CTI.
  • PCF:
    Plan de circulation des Fluides (PCF). Correspond à la traduction française de l'acronyme anglais PID.
  • PCI:
    Peripheral Component Interconnect : standard conçu par INTEL définissant le mode de connexion de certains périphériques rapides sur un "bus local". Ce standard est soutenu par les membres du groupe SIG. Les unités centrales utilisant ce dispositif ont une puissance sensiblement augmentée. Ce bus permet désormais des transmissions entre périphériques pouvant aller jusqu'à 132 millions d'octets par seconde.
  • PCI DSS:
    Payement and Card Industrie - Data Security Standard. Standard de certification de sécurité dans les payements électronique sécurisés
  • PCMCIA:
    Personal Computer Micro Channel Integrated Architecture: : consortium de constructeurs ayant produit un standard de cartes de connexions au format "cartes de crédit" utilisable sur les PC portables et les Notebook.
  • PCO:
    Plan de Continuité Opérationel : Voir aussi PCA.
  • PD:
    Powered device : dispositif alimenté. Acronyme donné à un dispositif au stadard POE pouvant être alimenté en courrant électrique à l'aide du réseau Ethernet. La consommation maximum autorisée était de 12,95 watts en 2003.
  • PD / CD:
    Phase Dual / Compact Disk : norme de disque optique compact développé par PANASONIC et permettant l'effacement et la réutilisation des médias. La capacité de chaque support était de 650 MO. Cette technique s'est opposée au CD / E développée par PHILIPS.
  • PDA:
    Personal Digital Assistant : petit ordinateur au format de poche et contenant une série "d'assistants personnel" comme un agenda, des traitements de textes simples, quelques logiciels de gestion simples et surtout un logiciel de reconnaissance de l'écriture. Peuvent donc être utilisés sans clavier. Inventé par APPLE avec le "Newton".
  • PDE:
    Power Sourcing Equipment : équipement d'injection de puissance. Dispositif permettant l'injection d'une alimentation électrique à partir du réseau de distribution de courrant vers un réseau Ethernet qui sera ensuite dirigé vers les dispositif à alimenter grâce au standard 802.3af POE. Injecte un courrant continu de 44 à 57 volts sur des paires torsadée de type 5. Distance maximale 100 M. Puissance de sortie de 15,4 à 19,95 Watts.
  • PDH:
    Plesiochronous Digital Hierarchy (Hiérarchie numérisée Plesiochrone), ancêtre de la technique PDH en matière de haut débit sur boucle optique. Cette technique était utilisée pour augmenter la bande passante des fibres optiques utilisées comme canal haut débit sur les réseaux de télécommunication.
  • PDMA:
    Perte de Données Maximale Admissible. Voir PCA et PCO
  • PERT:

    Programm Evaluation and Review Technique : Technique d'ordonnancement et de contrôle des programmes). Le PERT est « une méthode consistant à mettre en ordre sous forme de réseau plusieurs tâches qui grâce à leur dépendance et à leur chronologie concourent toutes à l'obtention d'un produit fini » .

    A la fin des années cinquante, la marine américaine conçoit une nouvelle technique d'ordonnancement qui devait conduire à des gains de temps importants dans la réalisation de ses missiles à ogive nucléaire Polaris : c'est la technique PERT (Cette technique a permis de coordonner les travaux de près de 6000 constructeurs dans les délais imposés par le gouvernement américain.

    Le projet POLARIS représentait entre autres : 250 fournisseurs, 9000 sous-traitants, 7 ans de réalisation.

    L’utilisation du PERT a permis de ramener la durée globale de réalisation du projet de 7 à 4 ans. Cette méthode s’est ensuite étendue à l’industrie américaine puis à l’industrie occidentale.

    La méthode PERT est le plus souvent synonyme de gestion de projet importants et à long terme. C’est pourquoi, un certain nombre d’actions sont nécessaires pour réussir sa mise en oeuvre.

    1. Définir de manière très précise le projet d’ordonnancement.
    2. Définir un responsable de projet, auquel on rendra compte et qui prendra les décisions importantes.
    3. Analyser le projet par grands groupes de tâches, puis détailler certaines tâches si besoin est.
    4. Définir très précisément les tâches et déterminer leur durée.
    5. Rechercher les coûts correspondant ce qui peut éventuellement remettre en cause certaines tâches.
    6. Effectuer des contrôles périodiques pour vérifier que le système ne dérive pas.
  • PGI:
    Progiciel de gestion intégré. Terme français traduisant l'acronyme anglais ERP.
  • PGP:
    Pretty Good Privacy. Logiciel de protection de la vie privée sur le poste de travail de l'utilisateur informatique.
  • PHP:

    Hypertext Preprocessor  : acronyme récursif, qui signifie Hypertext Preprocessor. PHP est un langage permettant le dévelopement de scripts HTML, exécuté côté serveur Web. Sa syntaxe est empruntée aux langages C, Java et Perl, et est, selon les utilisateurs expérimentés, facile à apprendre. Le but de ce langage est de permettre aux développeurs web d'écrire des pages dynamiques de sites Internet en langage HTML rapidement. Toutefois ce langage dispose de fonctions élérgies induisant de nombreuses possibilités.

  • PID:
    Piping and Instrument Diagram : Plan de circulation des Fluides (PCF). Correspond au schéma des circuits principaux et auxiliaires d'une installation industrielle sur lequel doivent figurer l'ensemble des appareils, équipements, tuyauteries, robinetterie et matériels de mesure, de contrôle et de régulation.
  • PIXEL:
    PICture ELement ou élément d'une image. C'est la plus petite partie adressable d'un écran graphique. Représente en fait le composant élémentaire d'une image numérique. Les anciens écrans "mode caractère" se définissaient comme étant constitués de caractères adressables selon une densité de 80 colonnes sur 25 lignes (80 x 25). Les écrans graphiques modernes sont définis comme étant constitués de lignes et de colonnes divisées en pixels, par exemple 1 024 x 1 024 ou 800 x 600.
  • PKI:
    Public Key Infrastructure : Clé Publique sur un système de cryptographie à deux niveaux. Doit être associée à la clé privée.
  • PLM:
    Product Lifecycle Management : Gestion du cycle de vie du produit. Considéré comme une approche stratégique de management des informations relatives au produit, depuis sa définition jusqu'aux phases de maintenance en passant par la fabrication, le PLM représente avant tout une discipline industrielle. Il tire ses origines des secteurs aéronautiques et de défense, s'étend largement à l'automobile, l'électronique, la pharmacie, l'agro-alimentaire et touche aujourd'hui quelques rares secteurs tertiaires tels que la banque-assurance. La conception, le dessin et la fabrication assistés par ordinateur sont à considérer plutôt comme des outils au service de toute la chaîne d'ingéniérie produit. Le PLM se définit plus comme une approche transversale de création, de gestion et de dissémination de l'information auprès des différents services de l'entreprise, ou de ses partenaires, concernés par le produit : bureaux d'études, services marketing, achats, logistique, production et après-vente.

  • PO:
    Péta Octet = 250 octets soit environ un million de milliards d'octets. (Ouf !...)
  • POE:
    Power over Ethernet : alimentation électrique par le câble Ethernet ou "courrant en ligne". Cette technique permet l'utilisation des files de cuivre téléphonique pour l'alimentation du électrique du terminal informatique. Normalisée par l'IEEE sous le vocable 802.3af Nécessite la présente d'un matériel qui injectera le courrant électrique dans le réseau, c'est le PSE, vers le matériel alimenté baptisé PD.
  • PON:
    Passive Optical Network : Réseau Optique Passif. Technique utilisée par France Télécom pour partager entre plusieurs clients des liens optiques à l'aide de couplzeurs passif en cascade.
  • POP:
    Point of Presence : point de raccordement d'un utilisateur Internet à un réseau privé virtuel. Ce type d'accès permet à l'organisme créateur du VPN de sécuriser les accès Internet de tous ses abonnés tout en utilisant les services d'Internet et de providers et non pas des liaisons point à point louées de manière plus onéreuse.
  • POP3:
    Post Office Protocol level 3. Il s'agit d'une version 97 d'un protocole d'accès à un serveur par messagerie qui est en concurrence avec IMAP, lui aussi prôné par l'IETF. Comme pour IMAP, il n'est plus indispensable d'avoir un serveur à la norme SMTP. Ainsi un client ayant un message de type e-mail sur Internet, peut ac-céder à son serveur de n'importe où sur le réseau des réseaux.
  • PPP:
    Point to Point Protocol : protocole INTERNET point à point. Il s'agit du protocole le plus souvent employé pour connecter un ordinateur personnel à l'INTERNET par modem.
  • PPTP:
    Point to Point Tunneling Protocol : Protocole développé par MICROSOFT pour la transmission de flux dans un réseau privé virtuel de niveau 2.
  • PREAO:
    PREsentation Assistée par Ordinateur
  • PRML:
    Partial Response Maximum Likehood : technologie de tête de lecture magnétique des lecteur de disques magnétiques.
  • PROLOG:
    PROgrammer en LOGique : langage récursif spécifique de l'intelligence artificiel. Conçu par Alain Colmarauer avec Philippe Roussel en 1972 à l'université de Marseille, ce langage fut la base des études du MITI sur les ordinateurs de cinquième génération.
  • PVD:
    Physical Layer deposition : dépôt par couche physique. Technique de fabrication des tranches de silicium dite classique à l'aide d'un dépôt sur le substrat obtenu par vaporisation.
  • QIC:
    Quarter Inch Capacity : format standardisé de mini cartouches de sauvegardes sur streamer, prônées par un groupement de constructeurs de périphériques. Par extension, format d'encodage de certaines logiciels de sauvegardes dont MSBACKUP en Windows 95 ou 98
  • QOS:

    Quality Of Services : acronyme permettant de désigner ou même de mesurer la qualité du service offerte. Cettte notion est déterminante dans le principe de réservation de bande passante pour des liaisons voix-données par exemple. A titre d'exemple, la gestion de la QOS pour les éléments actifs va permettre de garantir une bande passante réservée à la voix dans une liaison de type hertzien ou laser. Cette notion, à compter de 2004, a muté vers le principe de la COS.

    En général, ce paramètre est essentiellement mesuré dans les réseaux et surtout dans les réseaux sans fil

  • QWERTY:
    Aucune signification si ce n'est de comporter les 6 premières lettres du clavier aux normes anglo-saxonnes.
  • R-BGAN:
    Regional Broadband Global Area Network : Service bidirectionnel de tranmission de données sous protocole IP au débit nominal théorique de 144 kbits/s. Le principe d'utilisation est la technique du GPRS. Cette technique est essentiellement destinée à une mise en ?uvre de transmission par satellite, à l'aide d'un modem de petite taille 1,5 kg).
  • RAD:
    Rapid Application Development : méthode de développement de logiciels complémentaire des méthodes classiques. Son objectif est d'obtenir un délai de développement de logiciel extrêmement court en utilisant au maximum les outils automatiques de type L4G
  • RAID:
    Redundant Array of Inexpensive Disk : désigne les niveaux de standard auxquels sont rattachées les unités de disques redondantes, selon 6 niveaux de normes (0 à 5). Ces six niveaux ont ensuite été réduits à 3 : FRDS, FTDS et DTDS.
  • RAIT:
    Redundant Array Independent Tape : désigne une technologie améliorant la simultanéité des performances et la fiabilité des sauvegardes sur bandes. La technique RAIT est aux bandes ce que la technique RAID est aux disques.
  • RAM:
    Random Access Memory. Dénomination anglo-saxonne de la mémoire vive dans un ordinateur.
  • RAT:
    Remote Administration Tools : outils d'administration à distance. Ces logiciels devenu de véritable cheveaux de Troie, autoririse la prise de contrôle à distance d'un poste de travail, y compris quand le nouvel "administrateur" est malveillant. Utilisés essentiellement par les "Keyloggers" logiciels malicieux qui enregistre les caractères frappés sur le clavier d'un poste de travail, enregistrant par exemple les mots de passe.
  • RDA:
    Rich Desktop Application ; type d'application client riche qui s'exécute au dessus d'un socle propriétaire tel que les frameworks ".net" version 3.0 (éditeur Microsoft), ou Eclipse RCP et FLEX (éditeur Adobe).
  • RDB:
    Relational Data Base : base de données relationnelle développée par DEC pour le VAX sous VMS. Cette activité a été cédée à ORACLE.
  • RDS:
    Radio Data System. Normes de radio messagerie permettant à l'auditeur d'une station de radio en modulation de fréquence d'être assuré d'un confort d'écoute par basculement automatique d'une fréquence sur l'autre, en cas de modification de la fréquence de réception. L'auditeur a ainsi l'impression d'avoir une écoute continue alors qu'il franchit des limites de réception de deux émetteurs différents et donc de deux longueurs d'ondes différentes. Remboursement de la Dette Sociale : cette retenue supplémentaire "provisoire" est destinée à rembourser les 140 milliards de francs des déficits cumulés de la SS. Se calcule en trois fois (au 01/02/96) : a) 0,5 % sur 95 % du salaire ; b) 0,5 % sur 95 % de la part patronale des compléments de prévoyance et de mutuelle ; pour l'employeur, 6 % sur 100 % de l'assiette précédente (part patronale des compléments prévoyance et mutuelle).
  • RENATER:
    REseau NAtional pour la Technologie, l'Enseignement et la Recherche. Le réseau RENATER est un maillage français d'ordinateur des principales universités du territoire leur permettant de s'interconnecter et re-présentant l'organisation française et universitaire du réseau INTERNET.
  • RFC:
    Request For Comment : Document d'essai de standardisation utilisé par le groupe IETF.
  • RFID:
    Radio Frequency Identification : Etiquette d'identification à radio fréquence. Ce "Radio Tag" est une technique autorisant l'identification et l'échange d'informations avec des produits identifiés "à l'unité" pour la circonstance. Composée d'une étiquette électronique qui mémorise les données numériques, et d'une antenne qui transmet les informations enregistrées, la puce RFID dispose d'énormes avantages et renvoie ainsi le code-barres à l'âge de pierre. Cette technologie permet de lire des informations sans contact avec l'objet ni visibilité, de mettre à jour l'information contenue, de supporter des températures importantes, d'assurer une lecture de masse, tout ce dont le code-barres est incapable. Fait l'objet d'un groupe de concertation international au sein de l'IETF. Un interface IP, baptisé SLRRP par la communauté SOURCEFORGE.net à été défini, visant à remplacer les prorocole propriétaires utilisés initialement.
  • RIA:
    Rich Internat Application : Type de client riche où les applications s'exécutent au sein d'un navigateur internet. Elles reposent en général sur la mixité interface graphique de type "dynamic HTML" et échanges client-serveur Ajax.
  • RIM:

    Research In Motion. Société canadienne, concepteur, fabriquant et distributeur d'un PDA nommé BLACKBURRY, qui a été le must des PDA pendant des années. Ce terminal se distinguait par le fait qu'il était assorti d'un service de messagerie instantannée, articulé autour des serveur de messagerie de la société RIM elle-même. Cette originalité en constituait sa force.

    Il était adoptait au debut des années 2000 par tout ce qui comptait d'homme politiques, du spectacle et/ou de la télévision. Des pannes à répétition des seveurs ayant entraîné la coupure du service de messagerie pendant plusieurs jours, des interrogations sur la sécurité des messages et des données transitant par des serveurs "privés", ont induit des doutes sur cette solution

  • RISC:
    Reduced Instruction Set Computer. Cette technologie à été inventée aux USA à la suite d'un constat selon lequel 80 % du temps CPU dans un ordinateur était utilisé par seulement 20% des 250 à 350 instructions complexes, que comportait le microcode logiciel dans des machines classiques baptisées depuis CISC. L'idée a donc consisté à construire des ordinateurs avec un minimum d'instructions dans le microcode logiciel, en pré câblant les instructions les plus couramment utilisées.
  • RLI:
    Réseau Local Industriel
  • RLP:
    Radio Linked Protocole : Protocole de transmission de données digitales sur le réseau téléphonique maillé GSM.
  • RMI:
    Remote Method Invocation. Il s'agit d'un développement utilisé pour le transport des requêtes JAVA sur un bus logiciel introduit par le JDK.
  • RMon:
    Remote Monitoring : Protocole d'acquisition de données à distance destinées à l'administration des réseaux. Se décline à deux niveaux : Rmon 1 et Rmon 2.
  • RNIS:
    Réseau Numérique à Intégration de Services : réseau local ou étendu entièrement numérisé destiné à trans-porter des données hétérogènes ("multimédia"). Son appellation chez France Telecom est "NUMERIS". Ce type de réseau permet aussi bien le transport de la voix des données, la visiophonie, les services de VIDEOTEX, la téléinformatique, le son haute fidélité, la télévision, etc....
  • ROM:
    Read Only Memory : désigne une catégorie de mémoire d'ordinateurs accessibles seulement en lecture.
  • RPC:
    Remote Procédure Call : appel de procédure distante. Il s'agit de mécanismes qui permettent à une application d'appeler et de faire exécuter une procédure sur une machine distante par l'intermédiaire du réseau. Ce procédé permet ainsi de prendre le contrôle à distance d'un ordinateur pour effectuer une opération de télémaintenance, par exemple.
  • RPCA:
    Responsable du Plan de Continuité d'Activité. Colaborateur chargé par une entreprise ou une entité exploitant un système informatique, de vérifier l'adaptation les mesure de sauvegarde et de sécurité prise par une entreprise afin d'assurer une reprise d'activité totale de l'entreprise en cas de catastrophe et de disparition du centre informatique, par exemple.
  • RPG:
    Report Program Generator. Langage adopté en particulier par IBM pour la gamme de ses petits ordinateurs dans les années 70 (baptisés IBM 3). Souvent associés à la carte 96 colonnes. Le RPG III (GAP III) a été pendant longtemps le langage de base de la série IBM 98-AS400.
  • RSA:
    Rivest Shamir Alderman : Algorithme d'encription Asymétrique visant à la cryptographie en matière de télécommunication. Utilisé en particulier par le réseau des cartes bancaires, type VISA et par le Barreau de PARIS pour sa carte à puce. RSA, contrairement aux autres acronymes évoqués dans le présent document, est en fait l'abréviation des noms des concepteurs de cet algorithme et ne décrit pas les fonctions dudit algorithme.
  • RSSI:
    Responsable de la Sécurité d'un Système Informatique
  • RSVP:
    Ressource Reservation Protocol : Protocole de l'IETF permettant d'améliorer la réservation de la bande passante sur Internet. Utilisé pour la téléphonie sur le réseau IP.
  • RTC:
    Réseau Téléphonique Commuté : c'est l'infrastructure de réseau la plus communément utilisée par le public, puisqu'il s'agit du réseau permettant les communications téléphoniques quotidiennes. En 1998, en France, France Télécom ne bénéficie plus du monopole sur ce type d'équipement. Les opérateurs autorisés par l'ART à bâtir un réseau public en France se sont vu allouer les numéros suivants : 2-Iris, 4-Tele2, 5-Omnicom, 6-Esprit Telecom, 7-Cegetel, 8-France Telecom, 9-Bouygues Telecom. Real Time Clock ou Horloge temps réel : ce dispositif matériel intégré dans les microprocesseurs est mis au banc des accusés à l'occasion du passage à l'an 2000. En effet, les logiciels qui doivent affronter 4 horloges (logiciels, système d'exploitation, BIOS, RTC) ont théoriquement interdiction d'aller chercher la date dans la RTC mais il est exact que certains ne respectent pas cette règle et c'est là, selon certains que les catastrophes arriveront au 1er janvier 2000. La RTC ou Horloge Temps Réel fournit la date et l'heure en référence à un cristal qui vibre à la fréquence indiquée par la caractéristique du microprocesseur. La plupart des constructeurs ont avoué que la RTC n'est pas conçue pour gérer le siècle.
  • RTCP:
    Realtime Transport Control Protocol : Protocole de l'IETF permettant d'améliorer la réservation de la bande passante sur Internet. Utilisé pour la téléphonie sur le réseau microprocesseurs
  • RTP:
    Realtime Transport Protocol : Protocole de l'IETF permettant d'améliorer la réservation de la bande passante sur Internet. Utilisé pour la téléphonie sur le réseau microprocesseurs
  • S-AIT:
    Super Advanced Intelligent Tape. Evolution de la technologie AIT dotée des caratéristiques améliorées :Débit 30 MO / s, Capacité du média de 500 GO ou 1300 GO en mode compressé. En 2003 SONY décide d'adopté un format de bande compatible en largeur soit 0,50 pouce et un facteur de forme identique à celui des technologies DLT et LTO. sur des cartouche à 1 seul axe.
  • SA:
    Société Anonyme : structure en vigueur dans les sociétés à vocation commerciale. Le capital minimum exigé est de 250 000 francs.
  • SaaS:

    Sofware as a Service : le logiciel utilisé comme un service. Nouveau nom associé à la technologie de l'ASP. SaaS est un modèle qui propose un logiciel hébergé qui s'appuie sur une structure de données et un code source communs, partagés entre l'ensemble des clients utilisateurs du service, suivant un modèle ‘1 à n', facturé à l'utilisation ou sur abonnement en fonction de critères liés à l'usage.

    A la différence de l'ASP, les applications basées sur le modèle SaaS sont construites d'emblée en mode Web et optimisées pour être délivrées par Internet. Le modèle SaaS permet de se décharger de la maintenance, de l'exploitation et de l'hébergement des applications. Le paiement à la consommation est un moyen d'optimiser les coûts.

  • SAN:
    Storage Area Network : zone de stockage du réseau. Ce concept qui émerge avec l'ère Internet est la mise au point des technologies Fibre Channel. Le principe repose sur l'idée de centraliser les données en les rendant disponible pour l'ensemble du réseau, tout en prévoyant la possibilité de les répartir sur plusieurs serveurs eux-mêmes accessibles par les réseaux LAN ou WAN.
  • SAP:
    System Analyse und Programmentwicklung : SSII allemande conceptrice et distributrice des fameux logiciels SAP R 2 et SAP R 3. S'est rebaptisé depuis d'un nom plus "anglo-saxon : System Applications and Products in Data Processing
  • SARL:
    Société A Responsabilité Limitée : structure en vigueur dans les sociétés à vocation commerciale. Le capital minimum exigé est de 50 000 francs.
  • SAS:
    SAS Institute : Importante société US éditrice de logiciels particulièrement performants en matière de statistiques et de datawarehousing. Adopté par de nombreuses administrations et sociétés françaises.
  • SAT:

    SIM Application Tool Kit. Outils et applications destinés à utiliser les potentiels de la carte SIM.

  • SATA:
    Serial Advanced Technology Attachement : Technologie de connexion de disques sur un port série. Concurrent des attachements sur un bus parallèle de type Ultra ATA.
  • SBC:
    Smart Battery Charger : chargeur de batterie "intelligent" (Smart) qui à travers les données transmises par l'intermédiaire du SBD, permet d'économiser le temps de charge de la batterie mais surtout de prédire ce temps de charge. Permet aussi de vider la batterie avant recharge, ce qui permet une charge toujours maximum et donc une autonomie nominale permanente.
  • SBD:
    Smart Battery Data : données permettant aux batteries dites "intelligentes" de communiquer l'état de la charge et la quantité d'énergie restant et donc de calculer l'autonomie résiduelle de la batterie d'un ordinateur portable.
  • SCM:
    Société Civile de Moyens : structure permettant le partage de ressources humaines immobilières entre plusieurs personnes morales.
  • SCO:
    Santa Cruz Operation : SSII américaine à l'origine du développement d'un UNIX pour micro-ordinateurs intitulé au début XENIX.
  • SCP:
    Société Civile Professionnelle : structure permettant l'exercice regroupé de plusieurs personnes physiques exerçant à titre libéral.
  • SCSI:
    Small Computer Systems Interface. Standard de communications entre contrôleurs de disques et lecteurs de disques, pour micro-ordinateurs.
  • SDH:
    Synchroneous Digital Hierarchy : technologie de transport de données sur les réseaux de télécommunication en fibre optique permettant d'atteindre 10 Gigabits par seconde. Vocable utilisé en Europe et correspondant à la technique SONET aux USA.
  • SDLC:
    Synchroneous Data Link Communication : première norme interne à IBM de transports de données par paquets. Ce standard a succédé aux standards préalablement utilisés par IBM, à savoir le standard BSC. A souvent été en conflit avec la norme X25, et s'est petit à petit incliné devant cette dernière.
  • SDLT:
    Super Digital Linear Tape. Evolution de la technologie de sauvegarde DLT. Autorise en 2003 un débit de 32 MO / S sur des cartouche mono axe de 320 GO de capacité en mode normal et de 640 GO en mode compressé.
  • SEC:
    Single Edge Connector : nouveau système d'enfichage des microprocesseurs mis au point par INTEL avec l'annonce du PENTIUM II.
  • SEDRI:
    Société d'Etudes de Développement et de Recherche Industrielle : cette société fut une des valeurs vedettes du second marché boursier à la fin des années 80. Son créateur, Patrick DEFOR a par la suite été condamné devant la Chambre Correctionnelle du TGI de Paris. Cette société avait conçu un réseau d'informations et de publicité fondé sur la transmission vers des moniteurs vidéo installés chez des commerçants. En 1989, le chiffre d'affaires annoncé de 1 milliard de francs s'est totalement écroulé et le titre boursier qui était monté jusqu'à 1 030 Frs est descendu à 14 Frs. Ce fut une des premières fortes déconvenues du second marché dans les valeurs de haute technologie.
  • SEFTI:
    Service d'Enquête sur les Fraudes aux Technologies de l'Informatique : service de la police judiciaire parisienne, chargé des enquêtes relatives à la fraude informatique et au piratage de logiciels. Est devenu par la suite le BEFTI.
  • SELACA:
    Société d'Exercice Libéral A Commandite par Action : cette structure, introduite lors de la réforme des professions libérales, permet à ces dernières d'opter pour un fonctionnement se rapprochant des sociétés à Commandite par Action en vigueur dans les sociétés à vocation commerciale.
  • SELAFA:
    Société d'Exercice Libéral à Format Anonyme : cette structure, introduite lors de la réforme des professions libérales, permet à ces dernières d'opter pour un fonctionnement se rapprochant des SA (Société Anonyme) en vigueur dans les sociétés à vocation commerciale.
  • SELARL:
    Société d'Exercice Libéral A Responsabilité Limité : cette structure, introduite lors de la réforme des professions libérales, permet à ces dernières d'opter pour un fonctionnement se rapprochant des SARL (Société A Responsabilité Limitée) en vigueur dans les sociétés à vocation commerciale.
  • SEPA:
    Single European Payment Area. Règlement Européen (CE 2560/2001) qui organise le processus unique pour les virements, les prélèvments et les opérations sur cartes bancaires entre toutes les banques européennes à partir de 2008. Ce dispositif vise en particulier à homogénéiser les commissions bancaires prélevées lors de virements transfrontaliers et les virements nationaux.
  • SEQUEL:
    Structured English Query Langage. Nom de baptême donné par les techniciens d'IBM et en particulier par Donald Chamberlin aux travaux initiaux entrepris lors de l'implémentation d'un prototype de langage fondé sur les travaux théoriques relatifs au modèle relationnel du Dr E. F. Codd au début des années 1970. SEQUEL devint le premier API du premier prototype de SGBDR. Le langage SEQUEL fut rebaptisé plus tard SQL par IBM, pour des raisons purement juridiques.
  • SET:
    Secure Electronic Transaction. Protocole garantissant l'authentification des acteurs et la confidentialité des données. Il a été spécifié par HP, IBM, Master Card, Microsoft, Oracle et Visa.
  • SGBD:
    Système de Gestion de Base de Données. Organisation des données permettant la non-redondance de ces dernières
  • SGBD / R:
    Système de Gestion de Base de Données Relationnelles.
  • SGDT:
    Système de Gestion de Données Techniques. Ces logiciels sont chargés d'organiser toutes les informations techniques relatives à un produit tout au long de son cycle de vie. Le logiciel doit accéder à ces données et les contrôler. On en attend des réductions du temps de mise sur le marché des produits ainsi qu'une traçabilité des matières premières et une totale intégrité des données.
  • SGI:
    Silicon Graphics Incorporated : constructeur US de machines puissantes fondées sur l'utilisation du microprocesseur conçu par la Société MIPS (R4000, R8000, R10000). Connu pour avoir été leader en matière de station de travail, et pour s'être intéressé à la mise en ?uvre du parallélisme massif, pour concurrencer les constructeurs de super calculateurs. A racheté en février 1996 le constructeur de super ordinateurs CRAY RESEARCH.
  • SIAD:
    Système Interactif d'Aide à la Décision : terme français pour désigner des logiciels très puissants permettant, d'une part la consolidation inter niveaux et inter systèmes des données de l'entreprise et, d'autre part, des simulations numériques et temporelles. Ce sont des logiciels mis à la disposition des chefs d'entreprise des grands groupes et utilisés, entre autres, comme outils de planification.
  • SICAV:
    Société d'Investissements à Capital Variable. Appartient à la catégorie des OPCVM. Les SICAV monétaires présentent l'avantage d'assurer en permanence la représentation du capital.
  • SIEM:
    Security Information and Event Manager : Gestionnaire des informations de sécurité et d'évènements. Ces logiciels exploitent les informations fournies par des équipements disparates sur le réseau. Ces équipement peuvent être des routeurs, des serveurs, des anti-virus, un pare-feu, des passerelles entre applications ou même des serveurs et . Ces logiciels sont destinés à mettre en oeuvre les fonctions qui suivent : recueil des évènnements à partir des équipements, normalisation du formalisme des évènements, liaisons entre les informations externes et les dits évènements, affichage et génération de rapports (ou exportation).
  • SIG:
    Système d'Information Géographique : il s'agit de l'ensemble des logiciels permettant d'obtenir des statistiques réparties géographiquement, aussi bien sous forme de tableaux que de graphiques. Special Interest Group : groupe chargé des évolutions des spécification du bus PCI. Comprend en particulier INTEL, IBM, APPLE et SUN.
  • SIM:
    Subscriber Identity Module. Modèle de carte à puce utilisé dans les mobiles comme, par exmple un téléphone portable. Les fournisseurs de cartes SIM se sont organisé en un groupe SIMalliance qui défini les standards des applications SIM Tool Kit ou SAT. Ce standard est destiné en théorie à premettre de décoder les protocoles différents d'un opérateur à l'autre.
  • SIMPLE:

    SIP for Instant Messaging and Presence Leveraging Extensions. Extension du protocole SIP pour la messagerie instantannée et la gestion de le présence.

    Conçue pour transporter spécifiquement, à l'intérieur du protocole SIP, les informations liées à la messagerie instantannée et à la gestion de la présence.

  • SIP:

    Session Initiation Protocole : protocole de déclenchement de session. Simplifie l'établissement d'appels pour différents types de structure de données (voix, messages instantanés, visioconférence.

    Cette banière de signalisation, a été conçue à l'origine pour effectuer des conférences téléphoniques sur des réseaux utilisant le protocole IP. Elle est devenue un moyen de convergence universel téléphonie-informatique qui autorise théoriquement l'utilisation de téléphone "IP" non propriétaire avec n'importe quel PABX de marque différente. En 2006 devient un point de convergence tacite entre le monde de la téléphonie et le monde de l'informatique. Se substitue théoriquement au protocole de communication entre PABX H.323.

    Devrait prendre le pas sur son prédécesseur le protocole H 323

  • SLDRAM:
    Synchroneous Link Dram : technique de mémoire vive non propriétaire concurrente de la technologie DRDRAM. Offre l'avantage d'être plus libre dans sa fabrication et de ne pas obliger à verser des royalties à la société Ram Bus Incorporation conceptrice de DRDRAM.
  • SLF:
    Service de la Législation Fiscale : service interne à la DGI, chargé plus particulièrement de la mise en ?uvre de la législation fiscale sur le plan pratique au sein du monde économique. Le SLF à donné son avis, sur requête de l'UNCA, à propos du respect des normes fiscales vis à vis de la note d'honoraires et du relevé des affaires réglées du logiciel GCAJ.
  • SLRRP:
    Simple Lihgtweight RFID Reader Protocol . Prononcer "sleurp". Protocole développer par le groupe SOURCEFORGE.net pour uniformiser les échanges enttre étiquettes et lecteur en technologie RFID
  • SMBus:
    System Management Bus : bus dont l'objectif est de devenir un standard visant à rendre "intelligentes" les batteries d'ordinateurs portables. Utilise le protocole SBC où transitent les données SBD.
  • SML:
    Smartix Markup Language : langage de description de dictionnaire pour cartes à puce développées par GEMPLUS et reposant sur le standard XML. Cette technique permet l'indépendance des plates-formes et autorise la carte à puce à récupérer les données en utilisant les outils d'analyse évolués existants.
  • SMP:
    Symetric Multiprocessing. Architecture de conception de microprocesseurs, proposée par INTEL. Dans ce concept datant de 2003, le jeu des composants ou chipset, occupent un rôle central donc déterminant. C'est par opposition à ce concept qu'AMD défend l'archtecture NUMA comporatant pour chaque processeur de type OPTERON un contrôle de la mémoire et de la gestion du multiprocesseur.
  • SMTP:
    Simple Mail Transfer Protocole : standard "de fait" de protocole d'écriture des message sur le réseau INTERNET. Concurrence la norme internationale X 400.
  • SNA:
    System Network Architecture : nom du réseau unifié annoncé par IBM dans les années 70, et permettant la communication avec les mêmes normes dans l'ensemble de la gamme IBM du PC au plus gros système. Fondé sur le protocole SDLC, SNA était bien avant l'heure un système permettant le transport des données par paquets.
  • SNI:
    Siemens Nixdorf Informatique : ce constructeur allemand de matériels lourds (mainframes), dont les unités centrales sont désormais d'origine japonaises, à repris le champion allemand de la mini informatique, le groupe Nixdorf. Ce dernier avait préalablement, en France, racheté le constructeur français Intertechnique qui avait lui-même absorbé Olivetti - Logabax. C'est un exemples typiques des regroupements qui ont eu lieu dans le monde des constructeurs informatiques et de la santé fragile de ces derniers en Europe.
  • SNIA:
    Storage Networking Industry Association. Regroupement de constructeurs et d'éditeurs spécialistes du stockage travaillant à l'élaboration des fondements d'une administration ouverte des ressources de stockage en réseau de type SAN.
  • SNMP:
    System Network Management Protocol : Protocole standard de niveau 7 proposé par certains fournisseurs (NOVELL par exemple) et destiné à assurer la gestion et l'administration des réseaux (synoptique, débits, protocoles, bande passante, pannes etc. ...). Utilisé surtout sur le réseau INTERNET.
  • SOA:
    Service Oriented Archtechture : architectures orientées services.
  • SOAP:
    Simple Object Access Protocol : Protocole applicatif de bas niveau apparu en 1998 permettant d'invoquer un composant logiciel à travers Internet. Il permet donc de réaliser des échanges synchrones ou asynchrones par l'intermédiaire de messages au format XML. Le message est alors constitué d'un flux de données ASCII encadré par des balises XML puis transporté sous le protocole HTTP.
  • SOHO:
    Small Office Home Office : marché des petites structures économique et de l'informatique familiale. Ce marché est considéré par tous les constructeurs informatiques comme le nouvel eldorado auquel on prédit une croissance de 30 % par an jusqu'en l'an 2 000.
  • SOI:
    Silicon On Insulator. Finalisé après au moins 15 années de recherches par IBM, ce procédé de fabrication consiste à fabriquer des transistors intégrés à l'aide de couches minces en oxyde de silicium. Cette technologie permet d'éviter les effets électriques parasites générateurs de grande perdition d'énergie. IBM attend des gains de performance de l'ordre de 35 % par rapport aux puces technologie standard avec une consommation d'énergie trois fois plus faible.
  • SOM/DSOM:
    System Object Model - Distributed System Object Model : il s'agit d'une architecture et d'un ensemble de produits définis par IBM permettant la réalisation d'objets applicatifs distribuables sur un réseau. Semblable à COM/DCOM de Microsoft. Cette stratégie, contrairement à celle de Microsoft, est toutefois au premier abord compatible avec le standard CORBA.
  • SONET:
    Synchroneous Optical Network. Equivalent aux USA de la technologie SDH en Europe.
  • SPX:
    Sequenced Packet eXchange : protocole d'échange de paquet et de données en mode séquentiel. Ce protocole est complémentaire du protocole IPX utilisé sur le réseau Netware.
  • SQL:
    Structured Query Language. Langage d'interrogation de bases de données conçu par IBM et adopté désormais comme standard de fait pour les requêtes de bases de données. Cet acronyme est contre versé. Il ne correspondrait en fait qu'à une transformation par IBM de l'acronyme SEQUEL en SQL, lors du passage à la version 2 de SEQUEL Son origine fait dire à certains que SQL ne veut … rien dire.
  • SS7:
    Signaling System 7. Ce protocole utilisé sur les réseaux téléphoniques commutés servira de passerelle avec le monde IP (Internet) afin de permettre l'émergence du transport de la voie sur Internet, ce qui devrait conduire à une généralisation de l'utilisation du téléphone sur le réseau des réseaux.
  • SSA:
    Serial Storage Architecture : interface normalisée série entre les contrôleurs disques et les lecteurs de disques magnétiques. Lancée par IBM en 1992, elle assure un débit de 80 Mo/s et laisse espérer une évolution vers les 160 Mo/s. SSII américaine connue pour ses logiciels de gestion financière.
  • SSD:
    Solid State Disk : disques "flash". Mémoire de masse, proposée au départ par SAMSUNG reposant en totalité sur des mémoires NAND ("flash"). Principal avantage : aucune partie mobile.
  • SSII:
    Société de Service et d'Ingénierie en Informatique. Sigle français désignant les sociétés françaises intervenant de près ou de loin dans l'assistance aux entreprises vis à vis de la conception de logiciel et de la délégation de personnel.
  • SSIMD:
    Streaming Single Instruction Multiple Data : jeu supplémentaire de 70 nouvelles instructions implémentées sur le microprocesseur Pentium III par Intel en 1999. Connues aussi sous le nom de code KNI, ces instructions ont été comme pour le MMX utilisées pour accélérer les traitements complexes de type Image trois dimensions, reconnaissance vocale, compression vidéo et audio.
  • SSL:
    Secure Socket Layer. Protocole utilisé par les systèmes de paiement et de transaction en ligne (couches situées entre TC/PIP et l'application) basé sur le principe de clé publique / clé privée.
  • SSO:
    Single Sign ON : Signature unique. Projet consistant à remplacer le principe de l'identification singulière spécifique de chaque application par une identification - authentification unique, spécifique de l'utilisateur, lui permettant ensuite d'accéder à toutes les ressources applicatives auxquelles il a droit.
  • STH:
    Synchroneous Digital Hierarchy (Hiérarchie Numérique Synchrone). Cette technique correspond à la mise en œuvre des brasseurs à l'aide de boucles optiques permettant aux opérateurs et à leurs gros clients d'accéder à des palier en 150 mégabits par seconde. Cette technique succédait à la technique PDH.
  • STP:
    Shielded Twisted Pairs : technologie de câbles fondée sur des paires torsadées (twisted) entourées par un blindage (shield). A privilégier pour le câblage 100 Mbit/s.
  • SWAP:
    Simple Workflow Access Protocol : protocole standardisé d'échanges de flux de d'informations entre les produits de Workflow. Conçu et promu par l'association WFMC.
  • SWAT:
    Skilled With Advanced Tools. Il s'agit d'un vocable utilisé dans la méthode RAD pour désigner une équipe informatique pluridisciplinaires rompue aux besoins de développement rapide chargée des différentes versions d'un prototype jusqu'au produit livrable.
  • TCO:
    Total Cost of Ownership : Coût global de possession (d'un équipement informatique). Ce prix de revient du poste de travil consiste théoriquement, suite à un travail de comptabilité analystique très élaboré, à calculer de façon précise le prix réel de possession d'un poste de travail. La totalité des coût directs et indirects doit ainsi thériqueemnt être pris en compte, ausii bien l'aqcquisition, que l'exploitattion et la maintenance : UC, clavier, écran, souris, périphériques divers (imprimante locale par exemple),  logiciels, électricité, maintenance, hot line, etc.
  • TCP / IP:
    Transmission Control Protocole / INTERNET Protocol : il s'agit d'un standard de fait, utilisé essentiellement au départ pour les transmissions entre systèmes UNIX et qui, petit à petit remplace les normes de transmissions internationales à 7 couches ISO. Ce standard, situé en ce qui concerne couches 3 et 4 du modèle OSI à 7 couches est utilisé sur le réseau Internet. Il a induit une généralisation pratiquement systématique et normative sur l'ensemble de tous les serveurs vendus par la plupart des constructeurs d'ordinateurs aujourd'hui, micro/mini ou grands ordinateurs.
  • TCPA:
    Trusted Computing Platform Alliance : union des plates-formes informatiques de confiances. Groupe d'éditeurs de logiciels et de constructeurs informatiques proposant un lot de spécifications fonctionnelles et logicielles induisant la création de machines sécurisées.
  • TDMA:
    Time Division Multiple Access : type de trame utilisée en norme GSM, par exemple, permettant la division dans le temps en huit intervalles de 200 Khz.
  • TEN:
    Directories enable networking : ce groupe de travail du DMTF qui se veut la suite logique des travaux réalisée au Protocole d'accès au service d'annuaires de type LDAP. Ce groupe de travail est supposé permettre l'interopérabilité et la normalisation des différents annuaires.
  • TFT:
    Thin Film Transistor. Cette technique permet la mise en œuvre des écrans plats qui devraient remplacer les traditionnels tubes cathodiques à partir de l'an 2000.
  • TGI:
    Tribunal de Grande Instance
  • TLD:
    Top Level Domain. Extention des adresses URL de type .net, .com ou .fr sur Internet
  • TMN:
    Telecommunication Management Network : il s'agit d'une architecture unifiée de gestion de réseau de télécommunication conceptuellement séparée du réseau. Cette base de gestion recouvre 5 domaines fonctionnels traditionnels de la gestion de réseau : les configurations, les anomalies, les performances, la sécurité, la facturation. Le TMN s'impose progressivement pour les réseaux de télécommunications alors que SNMP a toujours une certaine subsistance en matière de réseau privé.
  • TNR:
    Terminaison Numérique de Réseau : nom de l'extrémité de réseau chez l'utilisateur dans la cas d'un abonnement NUMERIS. Synchronisé sur l'horloge de référence du réseau, ce boîtier alimente les terminaux en énergie électrique et abrite le trafic des postes sur le bus S0.
  • TO:
    Terra Octet = 240 octets soit environ mille milliards d'octets.
  • TPC:
    Transaction Processing Council : organisation regroupant les fabricants de microprocesseurs et d'unités centrales d'ordinateurs et visant à définir des standards de mesure pour la puissance transactionnelle des ordinateurs. Il en résulte un test de puissance officiel (benchmark) permettant d'étalonner le nombre de transactions par minute (TPM) d'une machine : il s'agit des différents tests TPC-X, X étant égal à C pour les ordinateurs de gestion, D pour les logiciels décisionnels, H qui défini une charge de requêtes SQL complexe pour les accès aux bases de données avec une nature inconnue de la requête et R qui est semblable à H mais avec une requête connue prédéfinie. En 1998, HP et IBM s'affrontaient au-delà des 55 000 TPC sur le test TPC-C.
  • TPM:
    Transaction Par Minute. Unité de mesure utilisé pour mesurer la puissance d'un serveur en qualifiant les performances d'un réseau et d'un serveur plutôt que les performances de l'unité centrale seule.
  • TSE:

    Terminal Serveur Edition : module de la gamme de produits Windows NT qui permet l'accès à distance grâce à un logiciel de type "client léger" qui fonctionne sur une postes de travail dits "léger" ou basiques sous Windows 16 et 32 bits. TSE permet aux utilisateurs d'utiliser à la fois le système d'exploitation de bureau Windows et les applications Windows directement depuis le serveur, apportant aux utilisateurs de périphériques terminaux à faible coût et de matériels dédiés, un accès à la technologie Windows NT et aux dernières applications Windows.

  • UART:
    Universal Asynchroneous Receive Transmitter. Carte de télécommunication la plus simple connectable de façon standard sur la plupart des micros. Permet la télécommunication ou la liaison entre un micro-ordinateur et un réseau à bas prix.
  • UBL:
    Universal Business Language. Bibliothèque de documents XML utilisée pour décrire les échanges à la base du commerce électronique.
  • UDA:
    Accès Universel aux Données. Il s'agit d'un modem de programmation indépendant de tout langage et permettant théoriquement à l'ingénieur d'utiliser le même code quelle que soit la source et la nature des informations à extraire ou à agréger. Plusieurs méthodes d'accès sont disponibles.
  • UDDI:
    Universal Description, Discovery and Integration : standard de description universel d'un annuaire universel des services Web. Géré par l'OASIS, les spécifications de UDDI permettent de décrire les scripts de classement et de recherche. Peut se concevoir partiellement comme un concurrent de SOAP et de WSDL.
  • UDK:
    Universal Development Kit : kit de développement proposé en 1998 par SCO et permettant à l'ensemble de la communauté des développeurs UNIX de ne disposer que d'un seul atelier de génie logiciel UNIX pouvant émuler à la fois les environnements UNIXWARE 2.1, UNIXWARE 7 et OPENSERVER 5.
  • UDO:
    Ultra density Optical. Technologie de stockage optique fondé sur l'utilisation d'un laser bleu. Son but est de concurrencer ou de succéder aux techniques mises en œuvre par le magnéto-optique. La technologie est fondée sur le changement de phase et l'utilisation de media double face. La première version prétend assurer des temps de réponse inférieur à 25 ms, pour des capacités de 3O GO avec un débit de 8 GO/s. Les versions suivantes sont censées permettre de stocker sur un media 60 puis 120 GO pour des débits atteignant 18 MO/s.
  • UGAP:
    Union des Groupements d'Achat Public. Ce GIE des grandes administrations françaises a joué un rôle considérable en matière d'informatique, aussi bien sur le plan des matériels que des logiciels. Il a été accusé par la suite de détourner la loi française en matière de passation de marché public et ses principaux dirigeants ont été mis en examen en 1997 et 1998.
  • UIT-T:
    Union Internationale des Télécommunications - section Télécom. Acronyme francisé correspondant à l'ITU-T.
  • UMA:
    Unlicenced Mobile Access : accés sans licence à un mobile. Consortium composé  au départ d'un quinzaine de fournisseurs dont ALCATEL, ERICSON, MOROROLA, NOKIA, T-MOBILE, dont l'objectif est d'assurer le roaming (routage ou tranfert automatique) des communications entre les différents réseau sans fils existants comme WI-FI et BLUETOOTH par exemple et les réseauux cellulaire dotés de technologies de tyep GSM (avec le GPRS) par exemple. Si le principe est simple la mise en oeuvre est complexe. Il s'agit de transférer depuis chaque type de réseau sans fil pour les véhiculer vers les points d'accés respectif jussqu'à un équipement baptisé UNC. L'UNC est donc la passerelle entre le réseau de l'opérateur mobile et et Internet. Le cryptage est effectué à l'aide de l'algorythme IKE V2.
  • UML:
    Unified Modeling Langage. UML fait partie des propositions qui ont été soutenues vers l'OMG pour que cette dernière détermine une standardisation unifiée des méthodes de développement objet. Développé par la société RATIONAL, elle représente une convergence des méthodes OMT BOOCH et OOSE.
  • UMTS:
    Universal Mobil Telecomunication System : norme qui sera utilisée par la 3ème génération de la téléphonie mobile. Cette norme a fait l'objet d'attribution de fréquences homériques par le niveau atteint dans certains pays lors des enchères publiques et des attributions de fréquences pour certains opérateurs. En l'an 2000, le nombre de terminaux mobiles cellulaires était d'environ 25 millions en France pour environ 35 millions de lignes fixes.
  • UNC:
    UMA Network Controller : boîtier servant de véritable passerelle entre les différents réseaux (WI-FI, BLUETOOTH, GPRS ... ) sans fil vers le réseau IP.
  • UNCA:
    Union Nationale des Caisses d'Avocats : organisme fédérateur des CARPA.
  • UNICODE:
    Standard pour la codification des caractères sur 16 bits. Permet d'associer un code unique à chaque caractère. Le W3C recommande son utilisation avec XML depuis 2003.
  • UNII:
    Unlicensed National Information Infrastructure : il s'agit d'un spectre de bandes multiples couvrant les fréquences suivantes : 5,15 à 5,35 ainsi que 5,47 à 5,825 Ghertz. Ce spectre se caractérise en général par une utilisation ne nécessitant pas les autorisations préalables des administrations chargées du contrôle des spectres de fréquences des ondes radio sur leur territoire correspondant.
  • UNIX:
    Unic Ics : cet acronyme a été créé par les concepteurs de ce système d'exploitation des BELL Laboratories de chez ATT en réaction à la déception consécutif à l'abandon de MULTICS, système multi tâche et multi utilisateurs. Ken Thomson et Dennis Ritchie, ont donc créé UNIX qui s'opposait à MULTICS par le fait que si leur système était bien multitâche, il était mono utilisateur (Unic). Ils l'ont développé pour faire tourner leur ordinateur PDP 7 livré sans système d'exploitation en 1965. La date de naissance officielle est désormais gravée dans toute les machines UNIX : le 01/01/70 à 00 h 00 00 GMT, jour où la version re développée en Langage C a été opérationnelle.
  • URL:
    Uniform Ressource Locator : chaîne de caractères standardisés qui identifie l'emplacement de chacun des documents Intranet ou Internet.
  • USB:
    Universal Serial Bus : port série universel. Ce standard de la fin des années 90 permet de diminuer le nombre de broche des connecteurs et autorise la gestion de 127 périphériques sur un même port, avec un débit théorique de 12 Méga bits par seconde.
  • UTP:
    Unshielded Twisted Pairs : technologie de câbles fondée sur des paires torsadées (twisted) non entourées par un blindage.
  • UWB:
    Ultra Wide Band : très large bande. Technologie et système de communication entre téléphone et terminaux divers venant en concurrence de la technologie Bluetooth. UWB, technologie de transmission sans fil, utilise les signaux radio très basse intensité envoyés sous forme de courtes impulsions à une cadence pouvant monter jusqu'à plusieurs millions d'impulsions par seconde. Les débits ainsi attendus peuvent atteindre 100 Mégabits per seconde sur 10 mètres. Le spectre radio utilisé est la bande des 2,4 Ghz.
  • VAR:
    Value Added Reseller : vendeur à valeur ajoutée. Ce vocable est utilisé par les constructeurs pour désigner une SSII, qui va vendre un système "clé en main" comprenant un ordinateur, et des logiciels applicatifs. Le VAR, par rapport à une boutique, par exemple, va donc apporter une "valeur ajoutée" intellectuelle à la vente d'un micro-ordinateur.
  • VAX:

    Virtual Adressed eXtended : cette gamme de mini-ordinateur 32 bits conçue fabriquée et distribuée par DEC fut l'un des premiers de sa catégorie, lors de son annonce en 1977. Il a représenté pendant 18 ans un standard en matière de mini-ordinateur.

    Après l'arrêt de sa fabrication, a été utilisé pendant encore de très nombreuses années

  • VDT:
    Vidéo on Diatone. Service audiovisuel interactif permettant l'utilisation de bibliothèques de films vidéo et disponibles sur appel, par réseau téléphonique ou par réseau Internet.
  • VEMMI:
    Vidéotex and other retrievial services Enhanced Man and Machine Interface : norme de technologie dans la télématique issue des opérateurs de Télécom européens. Utilisée en particulier par France Télécom pour le service "Kiosque Micro". Devenue inutile avec l'émergence d'Internet.
  • VESA:
    Groupe de constructeurs et de SSII qui cherchent à développer vers les hauts débits les bus ISA et EISA
  • VLB:
    VESA Local Bus : Extension vers les hauts débits (supérieur à 100 millions d'octets par seconde) des bus EISA et ISA.
  • VLSI:
    Very Large Scale Integration. Niveau d'intégration des circuits intégrés
  • VMS:
    Virtual Machine System. Système d'exploitation des mini-ordinateurs VAX de DEC.
  • VOD:
    Vidéo On Demand. Service audiovisuel interactif permettant à l'utilisateur d'accéder à une bibliothèque de films vidéo disponibles sur un serveur informatique à distance et sur lequel, il se connecte à la demande.
  • VPN:
    Virtual Private Network : réseau privatif virtuel. Lorsque de grands utilisateurs expriment à l'égard d'un opérateur de télécommunication national ou mondial des besoins importants, cette technique de partage de ressources permet de simuler un réseau privé.
  • VRAM:
    Vidéo Random Access Memory : ce type de mémoire non secourue est utilisée pour constituer l'espace mémoire dédié situé dans les cartes graphiques et destiné à accélérer l'affichage graphique. Coût relativement élevé.
  • VRML:
    Virtual Reality Modeling Language : extension à trois dimension (3D) du langage HTML. Permet le traitement d'images en trois dimensions sur Internet.
  • VSE:
    Virtual Storage Extended : cet acronyme est aujourd'hui utilisé seul pour désigner le système d'exploitation DOS VSE de la gamme moyenne d'IBM. A succédé au DOS sur les gamme 360, 370, 46 xx et 308x. Cette évolution intégrait la gestion de la mémoire virtuelle qui permettait entre autres son découpage en "pages".
  • W3C:
    World Wide Web Consortium : groupe d'utilisateur du WEB sur INTERNET, chargé de mettre en œuvre les techniques nouvelles de communication et de standardisation. Sa présidence est assurée par un membre de l'INRIA.
  • WAFS:
    Wide Area File Service : protocole autorisant sur un WAN une vitesse de trasfert de fichiers proche de la vitesse nominale d'un LAN. Ce protocole induit des performances nettement supérieures à celle de FTP ou HTTP, par exemple
  • WAN:
    Wide Area Network. Réseau étendu par opposition au réseau local.
  • WAP:
    Wireless Application : standard d'interface non encore normalisé entre le monde GSM et l'accès à Internet via téléphone portable.
  • WARP:
    Nouveau nom de code du système d'exploitation d'IBM OS 2
  • WDM:
    Wavelenght Division Multiplexing. Ultime technologie permettant éventuellement d'atteindre jusqu'à 1000 Gigabits par seconde ou 1 Terrabits par seconde sur des fibres optiques. Cette technique utilisée sur les réseaux de télécommunications devrait permettre d'en augmenter le débit et donc la bande passante. Win32 Driver Model : nouvelle classe de "drivers" (pilotes de périphériques) annoncés par Microsoft supportée par les version de Windows (9X et NT). Ce pilote, plus adapté au bus USB et aux DVD ne sera pas immédiatement disponible pour tous les périphériques.
  • WECA:
    World Expectation Colision Avoidance : il s'agit d'un groupe d'utilisateurs décidés à obtenir un certain nombre de normes qualité autour des réseaux sans fil et du protocole CSMA/CA. Décidés de créer un label de qualité, ils ont ainsi baptisé leur label WI-FI
  • WEP:
    Wired Equivalente Privacy : standard de 1er niveau utilisé par la technologie WI-FI pour la sécurité. Le chiffrement est effectué au niveau de la couche liaison (niveau 2 OSI) dite MAC dans la norme 802.11
  • WFMC:
    Workflow Management Coalition : association de concepteurs et de fabricants de produit et de matériels décidés à standardiser les procédures et les interfaces d'échange entre les différents produits (moteurs) agissant dans un processus de Workflow.
  • Wi-Fi:
    Wireless Fidelity : continuité sans fil. Standard aux normes 802.11b normalisée par l'IEEE en 1999, qui modélise les échanges de données sur un réseau local ou public restreint (100 mètres) sans fils. Applicable aux échanges entre ordinateurs et serveurs locaux, mais aussi entre ordinateurs et terminaux (souris, clavier, etc.), ainsi qu'au téléphone dans des zones ou des lieux publics très fréquentés comme les gares, les aéroports etc.
  • WIKI:

    Le mot "wiki" vient du redoublement hawaiien wiki wiki, qui signifie "rapide". Outil internet permettant à l'internaute de créet ou de modifier des pages web. Cette  technique est plutôt adaptée à la gestion d'informations non structurées ainsi, par exemple, qu'au suivi de projets ou à la veille technologique. Certains de ces outils incormorent la gestion d'un blog ou une messagerie instantanée.

    Un wiki est un système de gestion de contenu de site Web qui rend les pages web librement et également modifiables par tous les visiteurs autorisés. On utilise les wikis pour faciliter l'écriture collaborative de documents avec un minimum de contraintes. Le wiki a été inventé en 1995 par Ward Cunningham, pour une section d'un site sur la programmation informtique qu'il a appelée WIKIWIKIWEB. Au milieu des années 2000, les wikis ont atteint un bon niveau de maturité ; ils sont depuis lors associés au web 2.0. Créée en 2001, l'encyclopédie wikipedia est devenue le wiki le plus visité au monde.

  • WIMAX:
    Worldwide Interopérability for Microwave Access. Technique de réseau sans fil fonctionnant des 3.5 Giga Hertz. Cettte liaison est fondée sur une technologie hertzienne qui supporte le standard 802.16d. Elle est susceptible d'une portée théorique de 50 km, pour un débit théorique de 70 Mbits par seconde. Cette technologie est complémentaire de l'ADSL pour les zones plutôt rurales où la terùinaison bifilaire est inadaptée pour l'ADSL (qualité ou éloignement du central de l'opérateur).
  • WINTEL:
    WINdows inTEL : acronyme désignant le marché des micro-ordinateurs compatibles PC associés à l'interface graphique Windows. Par extension, WINTEL désigne pour ses détracteurs, un monopole de fait qu'il convient de combattre. Larry ELLISON, PDG d'ORACLE et ennemi personnel de Bill GATES, est un des principaux pourfendeurs du marché WINTEL.
  • WISP:
    Wireless Internet Service Provider : fournisseur d'accès Internet par liaison sans fils. Cet acronyme est le pendant des ASP pour les fournisseurs d'accès applicatif sur Internet.
  • WLAN:
    Wireless Local Area Network ou zone de réseau local sans fil. Définit l'ensemble des technologies permettant de manière locale de relier entre eux des dispositifs et de communiquer sans liaison physiques
  • WLI:
    Wireless Lan Interoperability. Ce forum constitué de 23 constructeurs regroupe les concepteurs de produits autour du standard IEEE 802.11 destiné à améliorer l'interopérabilité et l'interconnexion des réseaux sans fil.
  • WordML:
    Schéma en langage XML utilisé par MICROSOFT pour WORD outil de traitement de textes de la suite bureautique OFFICE.
  • WPA:
    Wi-Fi Protected Area : zone Wi-Fi sécurisée. Protocole de sécurité proposé par le consortium Wi-Fi Alliance. Devrait en théorie succéder à la première technique de sécurisation de Wi-Fi, WEP notoirement insuffisante.
  • WSDL:
    Wide Subscriber Description Language
  • WWW:
    World Wide Web : partie du réseau INTERNET (Web = toile d'araignée) où l'ensemble des milliers de serveurs forme un immense document hypertexte et multimédia, utilisant le protocole HTTP et développé à l'aide du langage HTML. INTERNET est un réseau US, fondé au départ sur une liaison entre les différentes universités américaines. C'est à ce jour le plus grand réseau mondial informatique permettant l'accès à un très grand nombre de bases de données regroupant des milliards de caractères et utilisées par plus de 30 millions d'utilisateurs dans le monde.
  • WYSIWYG:
    What You See Is What You Get : acronyme permettant de qualifier certains écrans de visualisation dotés d'une taille suffisante, pour permettre l'affichage d'une page au format commercial (21 x 29,7 cm) en entier, avec un formatage graphique identique à celui qui sera imprimé.
  • X 25:
    Norme de transport de données par "paquet". Le réseau Transpac exploité par la filiale de France Télécom du même nom fut un des premier réseau public à l'utiliser de façon intensive.
  • X 400:
    Norme d'échanges de données entre serveurs hétérogènes.
  • X 500:
    Norme du CCITT définissant la manière dont les utilisateurs d'un réseau distribué hétérogène peuvent créer, enregistrer ou trouver les informations associées aux ressources disponibles. C'est cette norme qui permet de bâtir les annuaires décrivant l'ensemble des ressources d'un réseau quelle que soit la taille de ce réseau.
  • XBRL:

    eXtensible Business Reporting Language. Protocole né en 1998 d'une réflexion lancée par l'Organisation professionnelle des experts comptables américains (AICPA).

    L'objectif de ce projet : définir un référentiel standard pour l'élaboration des états financiers, internes et externes, avec en ligne de mire la volonté de se donner les moyens de comparer les données financières et de les échanger - en favorisant l'adoption d'un standard, à la fois métier et technique, partagé par les entreprises et les éditeurs de solutions financières.

    Maintenu par le consortium XBRL International Incorporated, le XBRL a été retenu au niveau européen début 2006 dans le cadre de l'adaptation des reporting des banques aux ratios de solvabilité Bâle II et aux normes comptables IFRS (pour International Financial Reporting Standards). Les banques européennes sont dès lors tenues de mettre en conformité les rapports qu'elles communiquent aux organismes de tutelle.

  • XML:
    eXtended Markup Language. Ce standard se présente comme une uniformisation de la représentation des données dans Internet. Il correspond au standard HTML en matière d'interface utilisateur.
  • XP:
    ExpePerience. Ce vocable, associé à Windows, sous-entend que Windows "XP" bénéficie de "l'expérience" des précédentes version. Les contradicteurs de Microsoft apprécieront. Est aussi associé à Office (Office XP), pour désigner le successeur d'Office 2000 ayant lui-même succédé à Office 97.
  • XSL:
    eXtensible Stylesheed Language : langage de description de pages de style associé à XML.
  • Y2K:
    Year 2 000 : acronyme typiquement américain et informatique désignant l'année 2 000, en la modélisant de manière similaire aux octets. 1 K doit donc se traduire par "1 000" ou un "kilo-année" et 2 K par "2 000". Par extension, est utilisé par les informaticiens pour désigner les problèmes relatifs à la compatibilité an 2000 des logiciels et des matériels.
  • ZIF:
    Zero Insertion Force : Mode d'enfichage et de brochage des microprocesseurs INTEL jusqu'au PENTIUM. Cette technique permettait de protéger les broches du microprocesseur en autorisant l'enfichage "sans effort" avec un système de sécurité empêchant de façon simple l'opération inverse.

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